Le froid, oui, mais avec du soleil dehors !

Nous ne l'avons pas vu depuis une semaine,

c'est long.

Clic Contact 

L'article d'Adrienne qui parle de prématernelle

me rappelle deux anecdotes.

Mes fils sont rentrés en maternelle

tous les deux à 2ans 1/2.

En ce qui concerne mon aîné,

je ne le mettais que l'après-midi,

car le matin il dormait beaucoup.

De ce fait le premier aprè-midi,

j'ai cherché sa maîtresse dans la cour,

pour lui présenter mon fils.

En effet il avait un défaut de langage,

et pour dire Jean Charles,

il disant Fafale !

Deux ans plus tard il a eu des séances d'orthophonie 

pour corriger ce problème de prononciation.

Il est fléché  

Quant au second, 

nous l'appelions Doudou,

alors lorsqu'on lui demandait 

comment il s'appelait,

il répondait : Doudou.

Nous avons donc passé nos vacances d'été

à essayer de lui faire dire : Alexandre.

On lui détachait les syllabes.

A, il répétait A

Lex, il répétait Lex

Andre, il disait Doudou.

Puis un jour, alors qu'il était aux toilettes,

victoire, son frère, qui avait 5ans 1/2,

a réussi à lui faire dire Alexandre,

c'était gagné !

Bon maintenant ses copains (3 connus en maternelle)

l'appellent Lex 

Il est fléché   

Si vous avez l'œil, ils portaient, à 3 ans d'intervalle,

le même pull, et je ne l'avais pas fait exprès ! 

Des bons moments partagés en famille et entre amis,

la meilleure santé possible pour vous et vos proches.

Belle fin d'année

à tous !

Devoir du Goût N°181

SUJET

Tandis que je cherchais une image parmi les peintres du XIXème siècle, cette toile de Jacques-Joseph Tissot qui, par anglophilie du moment se fit appeler James, peinte en 1873 m’a frappé.
Ce peintre aimait les femmes.
Il devint en son temps un «spécialiste de la peinture féminine ».
Ami de Degas, il fut apprécié de Théophile Gautier au point que, connaissant Théophile Gautier et son goût marqué pour la gent féminine, je me demande si James Tissot n’a pas cédé aux mêmes tentations…

Mais vous, à regarder cette toile, qu’en pensez-vous ?
On verra bien lundi puisque le Web est revenu. 

En voyant les tenues de ces femmes,

je me suis dit que leurs crinolines devaient

les protéger des attaques sournoises de certains hommes.

Par contre si elles tombaient dans l'eau,

elles pourraient difficilement nager ! 

Et voyez ce que j'ai trouvé

Dans le même article,

il est dit que Théophile Gautier défendait ces crinolines 

Mais en fait sur le tableau ces femmes portent des demi-crinolines,

ou tournures appelées même

Faux-Culs 

Worth est célèbre dans l’évolution du vêtement pour avoir remplacé la crinoline par la tournure. 

Tenues moquées elles aussi

Devoir de Goût N°180

SUJET

Cette énième vue de Paris m’amène à me poser une question.
Ce n’est pas la première fois que je vous soumets une vue de Paris.
Parfois au soleil mais souvent il est vrai sous un éclairage moins vif, voire sous la pluie.
Mais ce qui m’amène à me poser des questions, ce ne sont pas les endroits décrits, non.

C’est la fréquente présence de cette femme qui semble ne sortir que par temps de pluie.
Histoire de sortir ce parapluie rouge qu’on lui voit chaque fois.
Sa mise change mais elle semble n’avoir que ce parapluie rouge.
Auriez vous une idée de ce qui la meut en ces jours tristes ?
J’attends de savoir ce que vous en pensez.
À lundi, donc…

Je vois deux explications plausibles :

 Elle sort avec un parapluie rouge pour mettre de la gaieté 

dans la grisaille de ce temps pluvieux.

 Ce parapluie rouge est un signal de reconnaissance

pour un rendez-vous donné par le biais d'un site de rencontres,

le rouge étant la couleur symbolique de l'amour.

Ou peut-être, fait elle partie de la

 Clic sur sigle pour savoir de quoi il s'agit

et c'est un signe de ralliement pour l'Assemblée Générale.

Et un petit clin d'œil à mon fils aîné

qui a décoré et défilé dans le tracteur de la CUMA, dont il est le président,

pour le téléthon (tracteur rouge )

Pour son anniversaire (21 septembre),

ma puce voulait absolument un chien.

Sa maman après bien des hésitations,

a fini par lui expliquer que ce n'était pas possible,

car cela impliquait trop de contraintes.

A la place elle a eu deux jours en famille 

dans ce parc !

Ils sont tous revenus enchantés.

Pour Noël je lui ai demandé, mercredi, ce qu'elle voulait.

Réponse :

"j'ai dit aux gens que je voulais un chien,

ils m'ont répondu que c'était compliqué,

je ne suis pas d'accord"

J'étais au courant par son père...

Il lui demande ce qu'elle voudrait, en plus,

pour que nous puissions avoir une idée de ce que nous pourrions 

lui offrir en dehors d'un chien.

Réponse :

" ben tout ce qui va avec un chien,

une gamelle, un coussin pour lui"

Je lui ai dit que si elle avait un chien,

elle pourrait l'appeler

Idéfix,

même si ce n'est pas l'année des "I".

Avec le chien de son père à la ferme 

Devoir du Goût N°179

SUJET

Cette toile de Richard Tuschman me fait penser à Hopper.
Une histoire probablement mal partie et tout de même partie mais pour mal finir…
Lui aussi a peint de portes beaucoup de portes, d’escalier et de gens qui attendent ou regrettent.
Mais vous ?

Raconteriez vous une histoire qui comme l’a écrit « Patriiiick !!! » commencerait par 
 

« Vous habitez près d’ici ? Lui avais-je demandé. »

Et qui finirait par

« Mais cet épisode était de peu d’importance dans le monde si dur et si incompréhensible où nous vivions depuis quelque temps. ».

Oui, comme ça ce serait chouette pour un lundi d’automne.

 Vous habitez près d’ici ?

m'avait il demandé. 

Ma réponse ayant été négative,

il m'avait proposé d'aller à l'hôtel.

Nous sortions d'un repas chez des amis communs,

le "courant" entre nous était passé instantanément.

Il semblait attentionné, et libre de toute attache.

Nous voici, au petit matin,

il vient d'avoir un appel de l'hôpital,

sa femme atteinte d'un cancer 

doit sortir ce matin !

Voilà, je me suis sentie piégée,

non seulement il n'est pas "libre",

mais en plus il ne soutient pas son épouse !

Bien qu'abattue, je me suis raisonnée, et,

en rentrant chez moi,

j'ai pensé que sa femme était bien plus à plaindre que moi,

et que cet épisode était de peu d’importance

dans le monde si dur et si incompréhensible où nous vivions depuis quelque temps. 

Inspiré de ce que Baptiste Beaulieu, médecin,

a écrit ICI, sur

Il y a quelque jours,

j'ai vu passer cette vidéo sur 

Révolte ses pêcheurs à Saint Gilles Croix de Vie 

si vous ne voulez pas tout regarder,

les anchois sur la route

 c'est à partir de 3:38 min

J'aurais été incapable de dire en quelle année c'était,

ni pourquoi les pêcheurs manifestaient,

mais je me souviens très bien des anchois qui jonchaient le sol,

de l'odeur prenante et de mon arrivée à bicyclette sur ce tapis de poissons !

Cela glissait terriblement, et j'ai bien failli finir au sol !

Comme en plus à cette époque j'étais très souvent en jupe

ou robe très longue (quelque peu babacool)

et que ces vêtements se prenaient régulièrement dans les rayons,

j'étais en équilibre vraiment instable !

Photo prise 2 ans plus tard,

mais voilà le type de robe que je portais. 

Souvenirs, souvenirs 

Devoir du Goût N° 178

SUJET

Mais que diable a vu soudain cette femme issue de l’imagination d’Aldo Balding ?

Ce peintre dont je vous ai déjà proposé quelques toiles a un faible pour les gens, les femmes, les hommes, leurs intérêts les uns pour les autres.

Mais là, qu’a donc attiré l’attention de cette femme ?
Vous aurez une idée d’ici lundi j’en suis sûr.

Mais que fait elle ? 

Elle va se faire mal ! 

Là c'est moi, le premier jour d'un séjour à la neige,

avec un groupe du lycée lorsque j'étais en seconde.

En bas de l'escalier, mon amie bien qu'inquiète,

a failli éclater de rire !

Il faut dire que j'avais loupé la première marche,

puis j'avais dévalé l'escalier sur le ventre,

et mon élan m'avait menée contre le mur du couloir !

Puis me voyant me relever sans blessure apparente,

le fou rire a fini par l'emporter.

Elle n'était pas toute seule,

et durant toute la semaine qu'a duré le séjour,

dès que tous me voyaient, ils se bidonnaient !

Tout est bon pour se faire remarquer ! 

Devoir du Goût N° 177

SUJET

 Je sais bien que j’ai déjà, à moins que ce ne soit Lakevio soi-même, proposé ce sujet à votre imagination.
Mais cette toile de Marc Chalmé m’amène toujours à des supputations.
J’espère qu’il en ira de même pour vous et que vous donnerez libre cours à vote idée, fussent elles farfelues.

Telle que vous me voyez,

je viens de recevoir une lettre de ma mère. 

Il y a quelques jours, je l'ai appelée

pour savoir si elle avait des photos

de mon grand-père paternel durant sa captivité.

En effet, lors de mes recherches généalogiques,

j'ai trouvé ce site d'une association

regroupant des descendants des prisonniers de la guerre 39/45,

je me suis empressée d'y adhérer.

Cette lettre contient des informations qui m'étaient inconnues

(en effet, je ne savais pas que mon grand père travaillait dans une ferme

en Allemagne durant sa détention)

et quelques photos.

                                        C'est mon grand père qui écrit                                                              Au dos le tampon du Stalag

                       (1941, 1 an de captivité, il a 33 ans, il sera libéré à 37 ans)                                                                   

Ma mère m'a aussi écrit qu'il reste peu de photos de cette époque,

en effet la maison dans laquelle étaient réfugiés,

ma grand-mère et mon père, à Pont-Audemer,

 avait brûlé suite à un bombardement des alliés.  

Elle m'y raconte une anecdote, dont je me souvenais :

un jour ma grand-mère a offert à mon frère un fusil,

fusil qu'elle avait dû acheter sans en parler à mon grand-père.

Durant l'après-midi lors d'une promenade dans la forêt du parc de Chambord

(nous habitions à une quinzaine de kilomètres)

mon grand-père a subtilisé le fusil à mon frère,

personne n'a su ce qu'il en avait fait !

( anecdote que j'évoque en commentaire,

sur l'article d'Ambre, concernant la photo de son papy,

qui n'est pas son vrai papy)

Par le biais de l'association, j'ai appris

qu'il avait été hospitalisé durant sa captivité,

mais aucune date ni raison n'est connue.

C'est émouvant de découvrir ces informations,

et grâce aux recherches des membres de l'association,

j'espère faire d'autres découvertes.

Carte obtenue par le biais de ce SITE  

CICR = Comité International de la Croix Rouge

Mon grand père était éclaireur motocycliste au 2ème GRCA

lorsqu'il a été fait prisonnier dans l'Oise en juin 1940. 

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Devoir du Goût N°176 

SUJET

 Après Anne-Françoise Coulomy et ses portes dont on se demande toujours où elles mènent ou ce qu'elles cachent, voici Fernando Saenz Perdrosa et ses attentes d’un train qui mènera je ne sais où pour rejoindre je ne sais quoi ou échapper à je ne sais qui.

C’est toute l’histoire de « Le je ne sais quoi et le presque rien ».
A vous, et à moi, de jouer d’ici lundi…

Je pars loin de l'agitation,

je pars loin des informations anxiogènes,

je pars me ressourcer.

Pourtant je sais qu'à mon retour,

rien n'aura changé,

mais j'ai besoin de solitude et de relaxation !

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Vous recevez un appel de quelqu'un

qui vous annonce que le lendemain

entre 8h et 13h un cadeau doit arriver par chronopost,

vous répondez :

 Super, merci beaucoup

 A 8h, je dors encore 

 Je ne mets "mes oreilles" qu'à 9h

 Ils ne peuvent pas le mettre dans la boîte aux lettres ?

Les recommandations du fournisseurs étant :

Ma mère n'ayant pas de sonnette,

je l'ai appelée pour l'informer.

J'imagine que ma première proposition aurait été votre réponse,

et bien j'ai eu le droit aux trois suivantes !

Son frère unique, dont c'était l'anniversaire vendredi dernier,

à qui je disais que ma mère était un bourrique,

m'a répondu :

"Pas une bourrique, un troupeau de bourriques !"

J'ai éclaté de rire, et rien que de l'écrire je recommence.

Il vient d'avoir 94 ans, ma mère en aura 85 le 7 novembre,

ils n'ont pas du tout le même caractère !

Mail reçu ce matin,

(après le parution de cet article) 

Bon créneau horaire, finalement ! 

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Devoir du Goût N° 175

SUJET

Vous avez vu le temps qu’il fait ?
Je suis que vous avez, comme moi, plein de choses a dire sur ‘l’automne.
Sans aller jusqu’à tartiner sur « Ô bruit doux de la pluie par terre et sur les toits », si vous parliez quand même de « ce cœur qui s’ennuie » et de ce que suscite chez vous cette ambiance si particulière de l’automne, cette saison à la fois triste et belle ?

Samedi nous étions au mariage du fils de notre amie

qui se bat courageusement contre un cancer incurable.

à Vaunaveys la Rochette 

Le mariage a été avancé en raison de l'état de notre amie,

il devait avoir lieu en mai 2024,

la fête sera maintenue, mais samedi c'était mairie,

et une petite fête à Chabrillan.

C'était une belle journée ensoleillée,

avec de jolies couleurs automnales dans de superbes paysages.

Les jeunes étaient enjoués, plein de sourires et très dynamiques.

A la mairie, ils ont tous chanté

C'était gai et émouvant.

Notre amie a été remarquable,

bien que fatiguée par les nombreuses chimios,

et très amaigrie, 

elle a eu le sourire durant tout l'après-midi et la soirée.

Grâce à un jeu organisé par les amis des mariés,

elle a découvert de nombreuses boulettes de son fils,

sans en être vraiment étonnée !

Le récit de ses maladresses aurait tout à fait correspondu

au vrai sujet du devoir 174 !

  Abattre la mauvaise cloison chez un copain.

 Démolir l'îlot central de la cuisine dans sa location.

 Se faire virer du stade de France suite à une bagarre avec un supporter adverse.

Nous avons été heureux de participer à cette belle fête

organisée pas ces jeunes pour faire plaisir à notre amie.

Bien qu'au fond de nous

notre cœur avait tant de peine !

Devoir du Goût N° 174

(ou pas)

NON SUJET

Si d’ici là je n’en ai pas plein le dos, si malgré l’entrain que j’y aurais mis, ne faisant partie d’aucune « fa » pas plus à Ré que sur le sol du continent, si après avoir usé de toute la gamme des raisons de ne rien faire, j’en ai encore le courage…
Eh bien mes chéries, mes rares chéris !
Que je vous dise !

Si ma crève, cette s…, ne m’a pas achevé vendredi prochain,

inspiré par la note d’Adrienne,

je vous proposerai un devoir sur « Gaston »

Et voilà…

Jeudi 19 octobre 

Comme je ne serai pas là, ce we,

pour savoir si finalement il y aura ou pas un devoir,

j'anticipe !

Gaston Lagaffe, cela me ramène en étude,

lorsque j'étais interne en terminale !

Le mercredi après-midi, nous sortions du lycée,

et allions en ville.

J'allais à la bibliothèque et ramenais quelques BD 

de Gaston Lagaffe !

Le soir, en étude, assise en tailleur dans un coin,

je les lisais toutes,

et souvent j'éclatais de rire !

 C'était la première année où l'étude de l'internat était mixte,

jusque là il y avait les salles d'étude pour filles au rez de chaussée de l'internat filles,

et les salles d'études garçons au rez de chaussée de l'internat garçons.

Déjà l'année précédente, ne m'entendant pas avec les filles internes de ma classe,

j'avais anticipé en allant "chez les garçons" pour faire mes devoirs !

J'étais la seule fille !

Elle avait du caractère la nana,

cela n'a guère changé !

Mon poussin a voulu me donner un cours de français.

Alors sur un cahier il m'a expliqué 

les "sons" avec le c et le ç.

Après ses explications, il m'a demandé d'épeler 4.

J'ai ri, et lui ai dit tu n'as pas de chance,

quatre cela commence par un Q.

Il a éclaté de rire.

Durant l'après midi, alors que je lui faisais épeler

les mots dont il devait connaître l'orthographe pour le lendemain,

dont : leçon,

il a oublié la cédille (qu'il appelle le machin)

je l'ai repris en lui disant que ce qu'il m'épelait

donnait : le con,

il a de nouveau éclaté de rire !

Là, son père réagit et m'a reprise,

en fait il pensait que je demandais d'épeler :

Le son !!!

Bien compliqué tout cela pour un petit bonhomme de 7 ans !

Cette année j'ai repris du service,

en effet après une année sans,

je retourne garder mes petits un mercredi sur deux.

Mon poussin a fait de la gym l'année dernière,

mais cette année, il n'a pas voulu y retourner.

 C'est dommage, parce qu'il est doué !

Bon là, il a quand même fait mieux que son père,

qui s'était mis à pleurer dès que j'avais tourné le dos,

et comme je n'avais absolument pas l'intention de passer

chaque semaine 2H dans la salle se sport,

l'expérience s'était arrêtée là !

Puis j'avais tenté de le mettre dans un club de foot,

là comme il avait un copain avec lui,

je pouvais partir durant le cours.

Mais très vite, j'ai compris que cela 

ne lui correspondait pas du tout.

En effet, lorsque je l'emmenais aux matchs,

j'avais honte, il courrait dans le sens inverse des autres,

se fichait pas mal du ballon et de ses coéquipiers !

Comme nous habitions à 15 km de la "ville",

et qu'il n'était vraiment pas motivé,

je n'avais plus jamais insisté pour lui faire faire une activité.

Il y a quinze jours, il m'a dit avoir emmené mon poussin au judo,

verdict, il a fait sa séance (mon fils est resté),

et à la sortie a dit qu'il ne voulait pas y retourner.

Ce mercredi, mon fils a fait un essai avec un autre sport :

l'escalade, là il est resté durant la première heure,

(cela devait durer 3h),

et lorsqu'il a voulu partir, car il avait du boulot,

mon poussin a tout arrêté et est finalement reparti avec son père.

Père qui m'a dit au retour,

que c'était terminé, qu'il n'y aurait pas d'autre essai !

Voilà, je lui ai dit :

"cela me rappelle quelqu'un !" 

 Il a d'ailleurs dit à son fils

que lui regrettait maintenant que je n'aie pas insisté,

qu'il avait sûrement loupé quelque chose.

Mais, lorsqu'on a du boulot, des kilomètres à faire

pour les activités, c'est supportable

si les enfants sont motivés,

sinon on abdique, il en fait l'expérience !

Devoir du Goût N°173

SUJET

Ça fait quatre ans que je vous propose à peu près chaque semaine un « Devoir de Lakevio du Goût ».
Si vous n’en avez pas marre, voici le 173^ème devoir.
Cette toile d’Émile Friant arrive un certain nombre de  devoirs et plus de deux cents semaines après le premier devoir que je vous ai proposé.

En attendant lundi, je suis sûr que vous allez vous précipiter sur vos claviers, rêvant des rentrées qui étaient d’antan et du mois d’octobre pour dire à quoi vous fait penser cette peinture dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’est pas enthousiasmante…

Mais bon, vous vous direz, comme le héros de « 2001, a space Odyssey » d’Arthur C. Clarke

« Bah… J’aurai bien une idée… »
À lundi.

Voilà un devoir bâclé, 

car ce we j'avais 

de ma puce !

                                                      Mamie maquillée par sa puce

 Cela fait deux ans que nous n'avions 

pas fêté un anniversaire, tous réunis.

 En ce début octobre,

le temps est clément,

et mon humeur est joyeuse !

Devoir du Goût N° 172

SUJET

J’aime beaucoup cette toile de Van Gogh.
Je pense que vous aussi vous l’aimez.
Je suis sûr que vous avez quelque chose à en dire.
Ce serait bien si, en le disant vous y placiez ces dix mots :

Désert, Retraite, Solitude, Automne, Réaction,
Fauteuil, Épouse, Chagrin, Froid, Chemise.

Bon, ce n’est qu’une suggestion mais ce serait vraiment chouette.

Pourquoi cet homme assis sur sa chaise, 

(alors qu’il serait mieux sur un fauteuil confortable)

semble-t-il avoir tant de chagrin ?

Est-ce que la solitude lui pèse, après le décès de son épouse ?

Est-ce qu’il a froid, habillé d’une simple chemise en ce début d’automne ?

Que nenni !

Son accablement est une réaction au départ à la retraite de son médecin,

 ce qui accentue le désert médical dans lequel se trouve sa commune.

Mais qui va, désormais, lui prescrire ses pilules bleues ?

Devoir du Goût N°171

SUJET

Je connais bien ce genre de situation où un homme en caleçon cherche ou regarde quelque chose.
Et pour cause...
Mais vous ?
Qu’avez-vous à en dire ?
Cette toile de Madame Ambre Lia-Kloppel vous inspire-t-elle ?
Vous rappelle-t-elle quelque chose ?
À moi oui et je vous dirai quoi lundi.
Et j’espère bien que vous aurez quelque chose à raconter aussi…

Ce tableau me fait penser à un couple illégitime,

où "l'amant" attend, patiemment,

que quelqu'un, en visite chez sa belle,

s'en aille !

Cela me rappelle deux anecdotes

nous concernant Zhom et moi.

Oui, parce que personne n'est parfait :

 nous avons été, il y a vingt ans,

un couple illégitime ! 

Nous n'avons pas vécu de situation de ce type,

mais il faut avouer que durant les premières années qui ont suivi,

les relations avec nos ex ont été houleuses !

Puis la venue de nos petits enfants respectifs

a apaisé les rapports, et maintenant

il y a des fêtes de famille où nous les côtoyons 

sans souci.

 Une de mes belles filles, alors que mon ex était là :

" Et vous Fabienne et Patrick, cela fait combien de temps que vous vous connaissez ?"

= Grand silence de notre part !

 Un des petits fils de Zhom, alors que son ex était là :

"Papy, comment vous vous êtes rencontrés Fabienne et toi ?"

= Grand silence de notre part !

Heureusement, à chaque fois,

personne n'a insisté pour connaître la réponse ! 

Le Devoir du Goût N° 170

SUJET

Aujourd’hui, histoire de rester dans « l’air du temps » comme disait Nina Ricci, la température me semble un bon sujet de conversation.
J’ai donc repris « Le crabe aux pinces d’or » d’Hergé et en ai tiré cette image pour en faire le sujet du devoir.
Canicule donc il y a.
Comme vous vous en doutez, Heure-Bleue hésite entre la mort et la fusion.
Mais vous ?
Comment vivez-vous, comment survivez-vous à ces températures qui donnent une idée des conditions de travail des ouvriers de la sidérurgie.
Vous serez lues et lus lundi sans aucun doute, et avec intérêt…

Que faire en période de canicule ? 

 Regarder des photos des vacances de mes enfants :

Canoé dans la Creuse

Bretagne

Ça c'est pour l'aîné avec sa petite famille.

Lac Majeur

Le lac de Carezza

Passage par l'Italie, en route pour la Croatie,

pour mon second,

voyage avec sa compagne pour leurs 10 ans de vie commune !

Plage Ručica Croatie

 Avouez que cela fait rêver,

être au bord de l'eau lorsqu'il fait trop chaud,

quoi de mieux ?

  Lire la dernière BD de Hergé 

Oui, parce que la canicule à Paris

ça doit donner des histoires croustillantes ! 

 Ecouter des chansons ayant pour thème le soleil !

En réalité, nous avons jonglé entre l'heure de fermeture des volets,

( Zhom n'aime pas vivre dans le noir),

et le moment de mettre en route le ventilateur.

Mais alors que nous allumions le ventilateur lorsqu'il faisait 27° dans le salon,

ces jours-ci nous arrivons à nous en passer à la même température,

puisque durant la semaine en vigilance rouge

nous avons atteint 31°, finalement on relativise !

Devoir du Goût N°169

SUJET

Je sais bien, lectrices chéries et lecteurs chéris aussi mais pas pareil, que l’automne arrive et que vous n’êtes pas tous des Parisiens forcenés.
Il m’a semblé judicieux de vous rappeler combien cette saison est belle.
Je suis persuadé que vous saurez l’écrire bien mieux que je ne saurais le faire.
Même si je suis sûr que l’automne n’est nulle part aussi beau que sur le Quai des Orfèvres, oui là où on poursuit si activement le criminel et l’assassin.
J’admets qu’il est aussi merveilleux assis sur un banc du Jardin des Plantes ou le Jardin du Sacré Cœur.
Il l’est sûrement ailleurs mais dites-moi lundi comme il est beau chez vous.

Cette photo de rentrée, proposée par Le Goût,

est très lumineuse et apaisante !

Ici, nous avons terminé le mois d'août en préparant l'hiver.

Alors je profite de la douce température 

de cette fin d'été pour buller au jardin

sur ma super chaise longue, face aux dernières fleurs ouvertes,

les prochaines s'épanouiront au printemps.

L'automne ne va pas tarder à pointer son nez,

 avec lui ses couleurs chatoyantes et la fin des grosses chaleurs.

Voici un tableau peint par une amie de collège,

un beau ciel bleu et de flamboyantes teintes automnales.

à tous nos petits enfants concernés !

Voilà, j'aurais espéré moins 25 kg,

je suis tout de même satisfaite ! 

1er sept 2022 ⇒ 1er sept 2023

 Lorsque j'ai commencé, je ne pensais pas

que cela fonctionnerait aussi bien,

alors il n'y a plus qu'à continuer !

Moi le jour de la pesée  

A mon retour de vacances, j'ai cherché sur la toile

si je trouvais trace d'un peintre "connu" dans la ville de Bernay

dans les années 1750.

En effet Marguerite, Rose, Françoise a été baptisée

le 20 mai 1749 à Bernay, elle s'y est mariée le 7 août 1770,

elle y a eu trois enfants,

et y est décédée le 21 avril 1822,

j'ai pu trouver tous les "actes".

J'ai eu de la chance, je suis "tombée"

sur ce document (1889).

C'est à la page 31 que j'ai su que j'avais trouvé

ce que je cherchais !

Le tableau y est décrit avec précision, 

(en position 3) !

Monsieur Léon Puel était l'arrière petit fils de Marguerite,

et le grand père paternel de ma grand-mère paternelle

( bon je sais cela peut paraître compliqué, mais j'essaie de simplifier

en parlant de "liens concrets" ) .

Madame Lehure qui fait l'objet du deuxième tableau

n'est autre que Marguerite car elle était mariée

à Michel-Robert Lehure.

J'ai trouvé où sont ces deux tableaux

ICI. 

Musée des Beaux Arts de Bernay 

Ces recherches m'auront permis d'apprécier

ce tableau qui jusqu'à maintenant 

me paraissait ostentatoire !

Mettre un visage, sur une ancêtre aussi lointaine,

n'est pas si courant.

Tableau peint en 1767, Marguerite avait 18 ans.

Photo 2022, ma mère, mon fils aîné (8ème génération), mes petits enfants (9ème génération)

Je ne sais pas comme Ambre, romancer les histoires,

je me contente de lister les évènements,

mais j'aime chercher les éléments,

et suis satisfaite de réussir à assembler les pièces des puzzles ! 

Chez ma mère, il y a un tableau

sur lequel se trouvent une bonne sœur,

 avec un instrument de musique,

et une jeune femme avec un papier dans les mains.

Ce tableau prend énormément de place,

et honnêtement, même si ma mère nous a dit

qu'il s'agissait d'une de nos ancêtres,

il ne m'a jamais beaucoup intéressée ! 

Même en ayant retrouvé cette ancêtre dans ma généalogie,

je ne m'étais pas plus "arrêtée" plus que cela sur "sa vie".

Puis, cet été, à l'improviste,

j'ai croisé ma mère en Vendée.

Surprise pour l'une, comme pour l'autre...

Surtout pour elle qui ne  savait pas

que nous étions en Vendée !

Comme je lui donnais des nouvelles

 des enfants de mon frère, 

notamment de son fils qui est joueur de poker pro :

elle me dit :

"j'espère qu'il ne fera pas comme le père de ta grand mère" !

Je lui réponds que j'ai trouvé dans mes recherches en généalogie,

sur sa fiche militaire, qu'il avait été condamné à 6 mois de prison,

et ce juste avant de se suicider !

L'histoire familiale disait qu'il s'était suicidé suite à une crise financière ! 

 Ma mère me répond qu'elle est au courant,

et que Tante Hibou, lui a dit qu'il avait vendu tous 

les objets de valeur qu'il possédait,

et qu'elle avait dit à ses parents qu'il fallait 

racheter le fameux tableau sur lequel figurait notre ancêtre !

L'article d'Adrienne où il est question de prénoms,

m'a  amenée vers ce site 

sur lequel vous pouvez comparer l'évolution 

de la popularité des prénoms depuis l'année 1900. 

En effet, j'ai toujours

(enfin, j'exagère, petite cela ne m'avait pas interpellée !)

été intriguée par le fait que dans le prénom

des trois premiers enfants de mes parents

il y ait "ab".

Alors, j'ai voulu vérifier leur popularité à l'époque

de notre naissance, voici ce que cela donne.

J'ai en plus mis en valeur l'année 1965 qui est l'année "pic"

pour deux des prénoms concernés,

celui de Gabrielle étant quant à lui vraiment peu usité !

Constatation, nos prénoms n'étaient pas vraiment à la mode

au moment où ils nous ont été donnés.

Il va falloir que je demande à ma mère comment ils ont été choisis ! 

Par ailleurs je me creuse la tête pour trouver

d'autres prénoms féminins dans lesquels

on pourrait trouver "ab",

je ne trouve pas,

( pas ceux qui commenceraient par Ab)

et vous ?

Souvenez vous, il y a 6 ans,

je vous parlais

 ICI

d'une association en faveur de 3 enfants, d'une même famille, tous très malades.

Malheureusement, Renaud, le plus jeune des trois a rendu les armes !

Il est parti rejoindre son grand père, dont je vous avais aussi parlé. 

Cet été les mauvaises nouvelles se succèdent,

une amie atteinte du même cancer que celui du grand- père, 

cité ci-dessus,

la sœur d'une des nôtres partie rejoindre, elle aussi les étoiles,

et ce petit bonhomme courageux rattrapé par sa maladie,

alors qu'il était en vacances loin de chez lui !  

Je suis désolée de partager ces mauvaises nouvelles,

mais je ne pouvais pas rester silencieuse,

et ne pas parler de ce petit bonhomme toujours souriant,

malgré les traitements et la rééducation permanents.

 La cérémonie d'adieu, aura lieu ce jour à 14H.

Lundi, je suis allée garder mes petits ! 

Une belle journée pleine d'amour.

Ils se sentent bien à la ferme,

dommage que ce ne soit pas le cas de leur mère,

ce serait tellement plus simple pour tout le monde.

Ils ne le savent pas encore, durant leurs vacances,

leurs parents vont les emmener au Futuroscope,

je pense qu'ils vont être enchantés !

Aujourd'hui

Ne vous trompez pas, ce n'est pas 

sa fête qu'il faut aller souhaiter

à JULIETTE,

mais son

ANNIVERSAIRE !

Voici ce que j'avais écrit en 2013

Juliette au grand cœur,

Juliette aux coups de gueule,

Juliette et son humour,

Juliette espiègle,

Juliette entière,

Juliette et sa sensibilité à fleur de peau,

Juliette et sa liberté de parole,

Juliette et ses gaffes,

Juliette amie fidèle,

Juliette si fragile parfois,

 Juliette et ses silences qui nous inquiètent !

JULIETTE NOTRE VEDETTE.

Et puis demain, 31 juillet

ce sera l'anniversaire de Gaby (petit fils de Juliette)

et de petite sœur (petite fille d'heure Bleue et le Goût)

10 ans tous les deux.