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J'ai entendu tous à l'heure que c'était
la journée du Droit des Enfants
On ne devrait pas avoir besoin de ces journées
pour rappeler tout ça.
Comme m'avait dit ma petite fille
lors de la première séparation de ses parents
(elle avait 3 ans) :
Hein Mamie, on ne fait pas des enfants pour les abandonner ?
On ne les fait pas non plus pour les maltraiter,
ni pour qu'ils soient maltraités par qui que ce soit !
Les Enfoirés - Qui a le droit par val6210
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Devoir du Goût N° 200
SUJET
Je suis sûr qu’il y a chez chacune et chacun de vous une endroit qui, bien qu’il ait peu changé a subi un changement qui, pour petit qu’il soit, a modifié grandement votre perception de l’endroit où il a eu lieu.
Et je suis tout aussi sûr que vous mourez d’envie de le raconter.
Il en va ainsi chez moi du square Nadar, en haut de la Butte Montmartre, qui a vu arriver un élément de façon étrange depuis que je suis entré en sixième au lycée situé en bas de la Butte.
L’état de quasi ruine du lycée montre qu’on accorde plus d’importance à l’état d’un minuscule recoin d’un square inconnu que d’un établissement chargé d’amener les jeunes gens aux sommets des savoirs de l’humanité…
Bon, il faut admettre que le haut de la Butte est plus rentable grâce aux touristes que le lycée grâce aux élèves…J’espère donc lire lundi « l’effet papillon »
que de petits changements produisent sur votre vie…
De l'effet Papillon, je ne connaissais que cette chanson,
et encore seulement le refrain, pas le détail des paroles !
Si le battement d'ailes d'un papillon quelque part au Cambodge
Déclenche, sur un autre continent, le plus violent des orages
Le choix de quelques-uns dans un bureau occidental
Bouleverse des millions de destins, surtout si le bureau est ovale
Il n'y a que l'ours blanc qui s'étonne que sa banquise fonde
Ça ne surprend plus personne, de notre côté du monde
Quand le financier s'enrhume, ce sont les ouvriers qui toussent
C'est très loin la couche d'ozone, mais c'est d'ici qu'on la perceC'est l'effet papillon : petite cause, grande conséquencePourtant jolie comme expression : petite chose, dégât immense
Qu'on l'appelle "retour de flamme" ou "théorie des dominos"
"Un murmure devient vacarme" comme dit le proverbe à propos :
"Si au soleil tu t'endors, de Biafine tu t'enduiras
Si tu mets une claque au videur, courir très vite tu devras"
Si on se gave au resto, c'est un fait, nous grossirons
Mais ça c'est l'effet cachalot, revenons à nos moutons, à nos papillonsUn hôtel un après-midi "aventure extra-conjugale"Puis, le coup de boule de son mari, alors si ton nez te fait mal
C'est l'effet papillon, c'est normal fallait pas te faire chopper
Si par contre t'as mal au front, ça veut dire que c'est toi l'mari trompé
Avec les baleines on fabrique du rouge à lèvres, des crèmes pour filles
Quand on achète ces cosmétiques, c'est au harpon qu'on se maquille
Si tu fais la tournée des bars, demain, tu sais qu't'auras du mal
Pour récupérer, à huit heures, ton permis au tribunalC'est l'effet papillon : petite cause, grande conséquencePourtant jolie comme expression : petite chose, dégât immense
Le papillon s'envole, le papillon s'envole
Tout bat de l'aileCela m'a fait penser à ma petite fille
qui mercredi a dû faire remplir à son père un billet de retard.
Du côté de la vie scolaire, la partie motif avait été complétée
par : Famille.
Mon fils pas du tout au courant
(puisque le jour du retard, le vendredi 8, les enfants étaient chez leur maman,
que depuis le lundi 11, leur maman était en Suisse,
et qu'elle n'avait pas parlé de cet évènement à mon fils)
demande à sa fille ce qui s'est passé.
Elle répond :
" C'est Simon qui ne trouvait pas sa culotte"
Je lui ai demandé si c'est ce qu'elle avait dit
à la personne qui lui avait ouvert la grille.
Elle m'a répondu que oui,
et que la personne lui avait dit
ah c'est un souci familial alors.
J'imagine qu'elle a dû se retenir pour ne pas éclater de rire !
Perte de culotte du frère => Retard au collège de la sœur = Effet Papillon
J'ai fait l'impasse sur l'endroit qui aurait pu changer, en fait je vis très éloignée des lieux où j'ai des souvenirs d'enfant.
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Mercredi, je suis allée garder mes petits.
A table, nous avons parlé de l'école,
et plus précisément des institutrices.
Celle qu'a mon poussin, pour la deuxième année,
(sa sœur l'a eue aussi durant deux ans)
a sa manière bien à elle de classer les cours,
et il n'est pas rare que les parents se joignent
entre eux pour échanger quant aux devoirs à faire,
car c'est souvent compliqué à comprendre.
Mon fils me dit :
"Heureusement, durant les deux dernières années
l'institutrice qu'il aura est plus carrée"
Mon poussin en "dessinant" un carré avec ses mains
ajoute :
"Carrée, carrée"
Puis il décrit toujours avec ses mains son institutrice actuelle
en faisant "un chemin tout tordu"
Décidemment qu'est ce qu'ils grandissent mes petits !
Il est très attentif à ce que nous disons.
Il est aussi plus calme,
et ses colères dues aux frustrations se raréfient,
c'est reposant pour tout le monde, y compris pour lui.
J'ai interrogé ma puce concernant le nouvel arrivant dans sa classe,
voici sa réponse :
" Décidemment je n'ai pas de chance, il n'est pas mieux que les autres"
Au passage, son père était tout étonné de ma question,
il ne savait même pas qu'un nouvel élève était arrivé.
Cela a été, de nouveau, une belle journée.
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Devoir du Goût N° 199
SUJET
Je connais depuis longtemps cette toile d’Andrew Wyeth.
Chaque fois me vient une série de questions.
Souvent les mêmes questions…
Cette jeune femme couchée dans l’’herbe, qu’y fait-elle ?
Tente-t-elle de fuir ?
Est-elle surveillée par une marâtre ?
Veut-elle atteindre ou fuir la maison qu’on aperçoit au loin ?
Et si oui, pourquoi ?
Et si non, pourquoi ?
Faites part de vos conjectures et je vous ferai part des miennes.
À lundi…Nous sommes le 11 novembre 1918,
Elise est désespérée,
elle se tord de douleur,
la guerre se termine
mais son père n'en reviendra jamais !
Il s'appelait Pierre, il est arrivé sur le front le 18 septembre 1914,
et a été tué le 25 septembre 1914,
il avait 27 ans.
Elise avait 2 ans 1/2,
son frère, Léopold, est né 10 jours plus tard,
le 5 octobre 1914.
Il n'a donc jamais connu son père !
Une famille, comme tant d'autres,
marquée à jamais par cette terrible guerre !
Monument aux Morts de Lodève (Hérault) , il fait partie des nombreux morts inscrits.
Elise, la grand-mère paternelle de mes enfants
portera toute sa vie le poids du manque de son père,
je l'ai rarement vue gaie.
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Devoir du Goût N° 198
SUJET
Ce dessin, probablement inspiré par le risque de voir l’extrême droite arriver à l’Élysée
m’a rappelé l’époque où les Algériens vivant en France étaient l’objet de remarques
racistes quand ce n’était pas d’agressions ou d’accusations diverses.
Ce dessin m’a rappelé quelques scènes vécues dans l’enfance.
Mais à vous ?Que vous ayez été témoin ou qu’un souvenir plus ancien vous revienne, on verra bien lundi ce que vous en pensez…
Un lundi matin (en 1986) , à l'hôpital, je réponds à un appel téléphonique
d'un homme qui voulait se plaindre des soins qu'il avait eus la veille aux urgences.
En plus, me dit-il j'ai été reçu par un melon !
Lorsque j'ai raccroché j'ai demandé aux collègues
ce qu'il avait bien pu vouloir dire !
Je ne connaissais absolument pas cette expression.
En 1977, j'ai eu un petit ami Kabyle.
Il m'a fait connaître cette chanson, qui est toujours dans ma playlist
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Lorsque j'ai gardé mes petits enfants , la semaine dernière,
ma puce (plus si puce que ça )
m'a dit qu'un nouvel élève allait arriver après les vacances.
C'est un garçon qui vient d'une île (je n'ai pas mémorisé laquelle).
Souhait de ma puce :
" J'espère qu'il sera beau lui au moins, parce que les garçons de la classe = BOF"
Elle a quand même ajouté :
"Je n'aime pas avoir un amoureux dans ma classe,
car quand je suis interrogée devant lui, je stresse !"
Je lui ai conseillé d'en trouver un en dehors de sa classe
Bon, après, elle n'est pas obligée d'avoir un petit copain à 11 ans.
C'est fou comme l'entrée en 6ème les fait grandir nos "petits" !
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Devoir du Goût N° 197
SUJET
Mr Renoir en peignant « La loge » porte un regard qui me semble critique sur ce couple dont je ne sais s’il est au concert ou au théâtre.
Mais à quoi pensent donc les deux moitiés de ce couple ?
Écoutent-ils ?
Regardent-ils ?
Songent-ils mais à quoi ?
Nous en saurons plus lundi j’espère…Guillaume pense : " Enfin une soirée seuls tous les deux,
j'espère que cela va nous permettre de nous retrouver" !
Mathilde de son côté ne peut s'empêcher de penser à sa fille de 4 ans
qu'elle a laissé chez les parents de Guillaume.
Elle se demande si elle n'a pas oublié des consignes !
Elle récapitule :
⇒ La faire manger normalement, pas à la cuillère, ce n'est plus un bébé.
⇒ Insister pour qu'elle se lave, l'hygiène c'est important !
⇒ Bien lui brosser les cheveux, même si elle se plaint quand on tire dessus !
Mais elle n'a pas confiance, et se demande si elle ne va pas la récupérer en sortant du spectacle !
Je ne sais pas comment ça se passe chez vous,
mais chez nous c'est plutôt çà
Quant aux consignes énoncées ci-dessus
elles étaient affichées dans la cuisine d'amis chez lesquels nous avons mangé samedi.
Elles avaient été écrites par leur belle-fille !
J'ai halluciné, et encore il en manque une que je n'ai pas mémorisée !
Nous avons gardé 3 petits fils en même temps cette semaine
( 2 de Zhom, et le mien) .
Ils se sont bien éclatés, c'est ce qui compte !
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Devoir du Goût N°196
SUJET
La première chose qui m’est revenue quand j’ai vu cette image, c’est la voix de Tino Rossi.
« Le plus beau de tous les tango du moooonde… C’est celui que j’ai dansé dans vos braaaas »
Mais pas seeulement.
Mais vous ?
Que vous inspire cette toile de Mark Keller ?Un souvenir ? Un spectacle ? Un morceau de vie ?
Nous verrons bien lundi qui ce tango aura inspiré…
Espérant toutefois que le sujet ne fera pas peine à Alainx qui n’a pas pu danser le tango mais semble néanmoins très bien passé de la danse pour fasciner quelqu’un pour le suivre pour la vie.
À lundi donc…Je pense n'avoir dansé le tango qu'une fois dans ma vie,
en tous cas je ne me souviens que de cette fois.
J'avais 20 ans, je travaillais dans un centre de vacances en Vendée.
C'était au cours d'une soirée dansante, puis nous avions, lui et moi,
terminé sur la plage.
A notre retour, j'ai trouvé mon vélo avec un pneu crevé,
il m'a donc raccompagnée chez moi, en voiture, et est rentré aussitôt.
Il était marié, et sa femme était en vacances avec lui.
Alors le lendemain tout le monde m'a regardée de travers,
je n'étais pas très fière de moi !
NB : Il me draguait ouvertement depuis une quinzaine de jours,
j'ai "succombé" lors de ce tango.
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L'aîné, 37 ans, agriculteur quasiment depuis sa naissance,
très vite il passait son temps dans le tracteur
avec son grand père, et moi je le cherchais partout !
Il a fait construire son premier poulailler à 21 ans.
Réunion des Responsables Magasin
Le second, 34 ans, responsable d'un magasin
Après un parcours chaotique,
puis un séjour en Nouvelle Zélande,
il a décroché un poste de vendeur en 2017,
puis petit à petit, il a gravi les échelons !
Ils se ressemblent un peu non ?
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Devoir du Goût N° 195
Sujet
Cette toile de Mark Keller me rappelle quelque chose et m’inspire un conte.
Mais à vous ?
Qu’inspire-t-elle ?
On le saura peut-être lundi…- Qu'est ce qu'il t'arrive Daisy ?
- Je suis très triste, un chasseur a tué Donald !
- Oh, je comprends ton chagrin, mais excuse moi de me réjouir,
ses excès me font peur.
Cette bonne nouvelle me donne envie de chanter !
Derrière chez nous y a un étang
Trois beaux canards s'y vont nageant
Y'en a deux noirs y'en a un blancV'là l'bon vent v'là l'joli vent
V'là l'bon vent ma mie m'appelle
V'là l'bon vent v'là l'joli vent
V'là l'bon vent ma mie m'attendLe fils du roi s'en va chassant
Avec son grand fusil d'argentMire le noir et tue le blanc ...
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Mercredi je suis allée garder mes petits.
J'ai commencé par aller chercher mon poussin chez sa maman.
Pendant que nous discutions toutes les deux,
il était fort occupé dans son coin.
Puis tout à coup, il m'a donné ça
Le tout fait avec un stylo 3 D.
Deux cœurs !
J'ai été très émue !
Après en voiture, il voulait mon téléphone
pour envoyer de la musique sur "l'info divertissement du véhicule",
il a eu du mal à comprendre que ma voiture n'avait pas le modernité
de celle de sa maman
(nous avons le même type de véhicule toutes les deux, et en plus de la même couleur)
Donc il a été contraint d'écouter ma musique
qu'il a qualifiée de
BOF !!!
J'ai souri, cela m'a rappelé un jour où nous avions gardé
un des petits fils de Zhom
(qui avait à l'époque l'âge actuel de mon poussin)
qui voulait écouter de la musique en nous précisant :
"Pas de la musique de vieux" !
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Devoir du Goût N°194
SUJET
Cette « photo modifiée tableau » de Richard Tuschman m’a,
« interpellé quelque part au niveau du vécu »
comme on dit quand on joue au « psy mode années 80 »
De fait, quel sens donner à cette toile ?
Qui part ? Elle ? Lui ? Eux ?
Revient-elle ? Part-elle ?
Qui est la silhouette derrière la fenêtre ?
Celle qui fait partir ou celle qui fait revenir ?
Et qui doit partir ou revenir ?
Bref c’est, comme disait ma mère « un vrai sac de nœuds »…
Je compte sur les efforts de tous pour donner un sens à cette toile.
À lundi…En fait cette femme avec sa valise me fait penser
à une réfugiée qui fuirait la guerre,
et arriverait chez des amis qui accepteraient de l'héberger.
Quelle guerre, je ne sais pas il n'en manque pas actuellement !
Que pensent son ami et son épouse qui regarde par la fenêtre ?
Sans doute espèrent ils que les bombes n'arriveront pas jusqu'à chez eux !
Quant à elle, si elle est soulagée d'être hébergée loin du chaos,
l'accablement d'avoir vu tant de souffrance l'empêche de se réjouir.
J'aurais souhaité raconter quelque chose de décalé,
de drôle, mais ça ne vient pas !
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Tout peut basculer si vite !
Vous êtes nombreux à le savoir déjà, malheureusement !
Publication de Heure Bleue
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Devoir du Goût N° 193
SUJET
J’aime particulièrement l’automne mais que vous inspire-t-il ?
Certains lieux me remuent le peu d’âme qui me reste, surtout celui-ci que j’ai parcouru tant de fois.
Êtes-vous plus « Ô bruit doux de la pluie, par terre et sur les toits »
Ou « Longue comme des fils sans fin, la longue pluie
Interminablement, à travers le jour gris, »
Êtes vous plus branchés Verlaine ou Verhaeren ?
Ou êtes vous simplement vous et vos rêves ou vos idées ?
À lundi, j’espère…Les couleurs de ce début d'automne sont grises et tristes,
et sont loin de la chaleur des tons de ce tableau.
Le choix des deux vers proposé par le Goût,
me porte instantanément vers :
Ô bruit doux de la pluie, par terre et sur les toits
Il est bien plus simple que le second.
Puis je suis allée lire le poème de Verlaine
malheureusement je suis totalement en phase avec la première strophe :
Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?En effet, Vendredi, alors que je m'apprêtait
à souhaiter l'anniversaire à une sœur de combat,
j'ai lu ce message
Je savais qu'elle avait récidivé en 2021,
(début de métastases osseuses, 16 ans après un cancer du sein)
en 2022 elle écrivait qu'elle allait mieux,
que le médecin lui avait dit qu'elle pourrait vivre encore longtemps,
et elle parlait de profiter de ses petits enfants !
Mais cette foutue maladie en a décidé autrement,
mi septembre Josette a rejoint tant et tant de combattantes :
Colette, Mady, agathe, et beaucoup d'autres.
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Mercredi, je suis allée garder mes petits,
et souhaiter l'anniversaire de ma puce !
Echarpe tricotée par Mamie Fabie
J'ai pu discuter avec mon fils de la rentrée des enfants.
La rentrée en 6ème de ma puce s'est bien passée,
elle est copine avec tout le monde,
mon fils m'a dit :
"elle n'est pas comme moi, qui restait dans mon coin" !
Puis il me parle de mon poussin, qui lui a été sot
à la cantine et a déjà un avertissement !
Par ailleurs il a été convoqué par la directrice et la maîtresse,
car il martyrise un des élèves de sa classe,
en le traitant de gros, et lui disant qu'il mange trop de hamburgers.
Il a fait une lettre d'excuses, et sa maman lui a fait téléphoner au garçon en question.
En espérant qu'il aura compris la leçon !
Ses parents et moi même trouvons normal qu'il prenne conscience du mal qu'il a fait.
D'autre part, mon fils continue en me disant que ma puce
a été "mandatée" par une copine pour dire à un garçon qu'il lui plaisait.
Je ne sais combien de fois elle est allée contacter le dit garçon,
mais celui-ci s'est plaint
(je ne sais pas si c'est à ses parents, ou à "la vie scolaire")
mais toujours est il que ma puce et la copine ont été convoquées !
Peut on vraiment parler de harcèlement ?
Qu'on puisse confondre des amourettes d'enfants
et du harcèlement me parait insensé !
Vous en pensez quoi ?
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Devoir du Goût N° 192
SUJET
Cette scène, courante dans un bar, l’est beaucoup moins dans l’œuvre d’un peintre.
Elle parut amener Mark Keller à la peindre.
Quelles sont les questions qu’il a pu se poser en les voyant ?
Que pensaient les deux protagonistes qui semblent muets ?
La vie semble beaucoup plus riche en questions qu’en réponses…
Je compte sur vous pour nous éclairer lundi.
Vous êtes toutes et tous riches d’interrogations.
Je suis sûr qu’elles nous intéressent tous.
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Aujourd'hui ma puce a 11 ans
Octobre 2013
Août 2015
Août 2020
Rentrée en 6ème sept 2024
Comme le temps passe vite !
Je me rappelle tellement de la rentrée en 6ème de son père.
D'ailleurs elle a, 26 ans plus tard,
3 professeurs qu'avait eu son père dans la même classe.
Professeurs de Français ( prof principal pour les deux),
d'Histoire/Géo, et de Musique.
Je pense que son père n'a pas laissé de mauvais souvenirs,
ce n'est qu'en quatrième qu'il a cessé de "travailler";
il voulait aller en collège professionnel,
mais j'ai tenu bon jusqu'à le fin de la troisième.
Elle semble s'être bien adaptée à cette nouvelle classe.
Et pour Gaby et Petite sœur, elle s'est passée comment
cette rentrée en 6ème ?
Joyeux Anniversaire aussi à Romain, le fils de Délia
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Devoir du Goût N° 191
SUJET
Cette toile d’Anne-Françoise Coloumy, à défaut d’être nette, me renseigne.
Ce n’est pas la première fois que je vous propose de raconter une histoire sur une toile de cette dame.
Cette fois, je vous en demande une autre à propos de la toile qu’elle a peinte et que je soumets à votre imagination.
Comme vous, j’espère en savoir plus lundi…Ce tableau m'a tout de suite fait penser
à ce mot : capharnaüm.
J'ai dû aller en aller chercher l'orthographe,
car si je l'avais entendu, je ne l'avais jamais écrit.
Mon frère, lui, ne l'avait même jamais entendu,
jusqu'à ce jour de 2011 où ma mère arrivant
dans la maison que nous possédions lui, mes sœurs et moi
(en Vendée)
s'est exclamée :
" Quel capharnaüm ! "
Mon frère en 2011 devant la maison en question.
Frère qui aura 62 ans ce 24 septembre.
En fait il logeait là pour l'été avec une de mes nièces
qui travaillait dans un restaurant.
Nièce qui avait amené un copain (petit copain ?)
qui y a passé lui aussi l'été.
Ce copain, était exécrable !
D'ailleurs Zhom et moi y avons fait un court séjour
que nous avons abrégé à cause de lui.
Ce copain achetait des bières qu'il buvait tout seul.
Par contre, lorsque nous y étions, il mangeait avec nous,
et à aucun moment n'a participé,
ni à l'achat, ni à la préparation des repas,
et pas même à la vaisselle !
Il était en master de je ne sais plus quoi,
et expliquait que d'aller porter le courrier
au fin fond des campagnes n'était pas rentable
et qu'il fallait arrêter !
Il avait fait un stage chez Véolia
dans un centre de profits.
Oui vous avez bien lu,
chez Véolia il y a des centres de profits.
D'ailleurs j'ai cherché et voilà ce que j'ai trouvé :
Je ne sais pas ce qu'il est devenu,
mais il était à l'image de ces décideurs
qui gèrent avec des tableaux Excel !
Alors le capharnaüm dont parlait ma mère,
c'était un tas de bouteilles vides de bière
qui s'entassaient sur la terrasse.
Photo trouvée sur la toile
Et un fois n'est pas coutume,
j'ai approuvé la colère de ma mère !
Bon, moi j'aurais dit
"Quel bazar" !
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Devoir du Goût N° 190
SUJET
Je propose à votre imagination de raconter une histoire qui vous serait inspirée par cette toile de Gustave Caillebotte.
J’espère que nous découvrirons ensemble vos histoires dès lundi matin.
Je suis sûr qu’elles seront savoureuses et sans aucun doute charmantes
C’est la rentrée, lectrices et lecteurs chéris !Bonjour, je m'appelle Dora, j'ai 16 ans et c'est moi qui commande.
J'ai décidé que je ne rendrais l'ordinateur
que lorsque mes humains auront pêché quelques poissons
pour me nourrir !
Les voilà donc partis au bord de l'Yerres.
C'est un bel endroit paisible.
Je suis certaine que leur patience sera récompensée.
Voilà, je suis comblée mes humains ont bien travaillé !
( je les soupçonne quand même d'avoir triché,
les rougets ne vivent pas dans l'eau douce ).
Mais je vais me régaler quand même.
Et pour finir, voici une petite visite de la propriété de Gustave Caillebotte
9 commentaires -
Début juin 2024
Deux annonces :
A ce jour : 31 août 2024,
pas d'avancée...
Si ce n'est ce message lu tout à l'heure
Il est donc probable que durant la semaine prochaine,
nos blogs vont "migrer".
Je vous rappelle au cas où celui-ci ne serait plus accessible
que j'en ai créé un autre
Pour ce qui est de la dissolution
il semblerait que notre président ait du mal à trouver
la "perle rare" !!!
3 commentaires -
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Il y a quelques temps je suis "tombée"
sur cette parution sur Instagram
J'ai échangé avec l'auteur de cette photo
Je vous ai trouvé une photo qui correspond
à ce qu'était la plage et les jetées au temps où je fréquentais ce plongeoir
Depuis, la jetée marquée d'un flèche jaune s'est allongée de 250 m.
Voici une autre photo d'avant 1988
On y voit même le plongeoir !
Ce plongeoir était donc, à marée haute le point de rendez-vous
des bons nageurs, car très vite on n'avait plus pied !
J'ai deux anecdotes !
Une fois avec une amie, nous y sommes allées sur un matelas gonflable,
à deux dessus !
Au retour, nous avons pris un tel fou rire,
que nous n'arrêtions pas de chavirer,
et avions beaucoup de mal à remonter dessus !
Une autre fois, hors saison (mi juin)
à trois nous avons entrepris de nager jusqu'à la deuxième jetée,
(celle qui s'est allongée depuis) .
Le but étant d'attirer l'attention des CRS qui surveillaient la plage !
Une de mes amies avait envie de les draguer.
Il faut savoir qu'en juin, ils étaient seuls, sans leur famille.
En juillet femmes et enfants les rejoignaient pour deux mois.
Cela a bien marché, à peine avions nous dépassé le plongeoir,
que très rapidement, ils sont venus nous sermonner !
Je ne saurais plus dire si mon amie est arrivée à ses fins !
Ce dont je me souviens c'est que j'ai manqué de souffle,
et que du jour au lendemain j'ai totalement arrêté de fumer !
Août 2024, toujours du monde sur le plongeoir !
Le superbe voilier vu de plus près
8 commentaires -
Nous avons réintégré notre salon !
Ce sont des couleurs apaisantes, et très agréables à l'œil,
nous avons été très bien conseillés pour les choisir !
Nous attendons maintenant l'arrivée des coussins des fauteuils,
les housses étaient très usées, nous les avons fait refaire.
Voici le tissu que nous avons choisi
avec l'aide d'un des fils de Zhom et de sa compagne.
En mars nous avions fait refaire la façade et les volets,
voici un avant / après
Il ne reste plus qu'à peindre le portail,
notre super professionnelle devrait revenir en mars 2025,
elle a beaucoup de travail, et de toutes façons actuellement
la vigne envahit tout pour nous faire de l'ombre.
19 commentaires -
Depuis le 8 juillet nous "campons",
pas au sens propre,
mais notre salon est en travaux,
et nous n'avons plus accès à notre "confort".
Voilà fauteuils et canapé sont sous housse.
Théoriquement cela ne devait durer qu'une semaine,
mais l'étendue des dégâts était plus importante que prévu !
Ce mur humide +++
a nécessité un traitement important !
Il a fallu le "mettre à nu"
Puis percer des trous au plus bas du mur,
pour injecter un produit qui bloquera l'humidité.
Puis reboucher les trous
Puis réenduire le mur, 5 couches,
chaque couche devant sécher durant au moins 24 h.
Hier une couche d'apprêt a été posée sur tous les murs
Plus qu'à poser de la fibre de verre sur le mur abîmé,
et à peindre toute la pièce !
La voici avant travaux (et vidée déjà de quelques meubles)
Nous espérons que le we prochain nous pourrons réintégrer notre salon !
Mon ordinateur a migré à l'étage,
je m'en sers peu,
d'où mon long silence.
Au jardin l'agapanthe s'épanouit
16 commentaires -
dans les commentaires de l'article précédent.
En août 1986, alors que j'attendais mon premier enfant,
et que j'étais en vacances en Vendée chez mes parents,
ma mère m'a parlé de ma naissance.
Mes parents se sont mariés le 21 décembre 1957.
Ma mère avait tout juste 19 ans, et mon père 23 ans.
Mon père à l'époque faisait ses études de vétérinaire à Toulouse.
C'est comme ça, que je suis née le 2 juillet 1958 à Toulouse.
Je n'étais pas prématurée, contrairement à ce que ma mère a voulu faire croire à sa famille,
(dixit mon oncle et parrain, son frère).
Tout à coup elle me dit :
"A ta naissance, nous t'avons laissée à la pouponnière,
car ton père devait faire un remplacement chez un vétérinaire,
qui acceptait de nous loger ton père et moi, mais ne voulait pas de bébé.
Lorsque nous sommes venus te chercher 3 mois plus tard,
le personnel a été étonné, car généralement
les parents ne revenaient pas chercher leur enfant . "
Je lui ai demandé si cela ne lui avait rien fait de me laisser,
elle m'a répondu :
" Tu sais j'étais jeune " !
Voilà, quand on attend son premier enfant,
que le futur père te pose souvent cette question :
"si il faut choisir entre la mère et l'enfant,
je choisis qui ?"
et que ta mère te dévoile ces détails,
on peut dire que c'est très déstabilisant !!!
Était -ce vraiment utile de me le dire,
surtout à ce moment là ???
Nous n'en n'avons jamais reparlé,
c'est comme ça..
Après ils ont eu 4 autres enfants,
à 24 ans, ma mère avait eu 5 enfants !
9 commentaires -
En ce 2 juillet 2024,
je vous remets un article du 2 juillet 2018
Non, les petites filles ne naissent pas dans les roses,
ni blanches, ni d'aucune autre couleur.
Il y a 60 (66) ans, jour pour jour, à Toulouse, naissait une petite fille.
Après avoir été "laissée" durant ses trois premiers mois,
dans une pouponnière de cette ville rose,
ses parents, sans savoir si ils allaient la reconnaître,
sont revenus la chercher.
En septembre 1959, au Havre, naissait sa première sœur.
Fontainebleau
Elles ont 15 mois d'écart.
Il parait que sa petite sœur, bébé, suçait son pouce,
leur père, le lui bandait, pour la nuit, pour l'en empêcher.
Chaque matin, le bandage était parti.
Un soir leurs parents ont épié les deux sœurs,
qui dormaient dans la même chambre.
L'aînée enlevait le bandage, en disant à sa sœur :
" tient bébé, tu vas arrêter de pleurer"
Saint Martin du Bec ( Seine Maritime) Même endroit avec son oncle qui est aussi son parrain
En 1961, une deuxième petite sœur naissait à Bernay (Eure)
Elle ne vécut qu un mois et demi, et est enterrée à Fontaine-Chaalis (Oise)
A la suite de ce douloureux évènement
la famille déménagea à Neung sur Beuvron (Loir et Cher).
Ecole à Neung sur Beuvron
Là en septembre 1962, vint un petit frère (né à domicile),
attendu par leur père (et sûrement leur mère)
comme le messie...
Le père disait au fils, lorsqu'il faisait une bêtise :
qu'il imitait ses sœurs...
1963 Neung sur Beuvron 5 ans 1965 Neung sur Beuvron ( 7 ans, 6 ans, 3 ans)
Hiver 63 colonie de vacances à Wildenstein dont sa Marraine, Mamie Bréant était la directrice.
En juillet 1964, à Neung sur Beuvron,
est née (elle aussi à domicile)
la dernière sœur de la fratrie.
à Neung sur Beuvron
Hiver 65 Neung sur Beuvron été 67 Neung sur Beuvron
En février 1970, toute la famille a déménagé
à Saint Gilles Croix de Vie (Vendée).
Cette année là, elle y a fait sa communion.
1970 Saint Gilles Croix de Vie 1971 Saint Gilles Croix de Vie, communion de sa 1ère sœur
Puis vinrent les années lycée, internat à La Roche Sur Yon
Fin de seconde, 1973 (petite fille sage) Printemps 1975 (vacances) Voyage scolaire Paris 1976 (dévergondage)
Ayant échoué au BAC,
très perturbée par les problèmes familiaux,
elle est partie faire une formation professionnelle à Violès,
dans le Vaucluse :
"Promotion du Tourisme en Milieu Rural".
Années baba cool (pull fait maison) 1977-1978 Sablet ( Vaucluse)
A 20 ans, avec le chien de la maison, Voyou.
Saint Gilles Croix de Vie été 1978.
Voilà, pour ses 20 premières années.
Restent 40 années, pour arriver à aujourd'hui,
ce sera pour un autre jour, elle ne voudrait pas vous lasser
60 ans aujourd'hui, cela vaut bien un bouquet de roses
blanches, roses...
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Mes bouts de choux ont beau être férus des écrans,
ils restent inventifs !
En aout 2023, ma puce nous avait concocté un circuit pour voitures
Puis en septembre, pour son anniversaire,
elle nous a fait sortir de table, un à un ,
pour nous interroger à partir d'un questionnaire à choix multiples
qu'elle avait rédigé pour savoir si nous la connaissions bien.
Pas de gagnant, elle totalisait simplement les réponses,
puis nous a donné les réponses qui lui correspondaient le plus !
Entre autre, voici le métier qu'elle aimerait faire
Mon poussin lui, aime bien imiter les adultes qu'il côtoie,
c'est souvent la maitresse.
En mai, il m'a dit on joue à la dame !
Aux questions qu'il m'a posées,
j'ai vite compris que c'était de la psychologue qui le suit
dont il parlait.
Ses questions étaient autour de ce qui m'avait fait le plus plaisir dernièrement,
il écrivait les réponses, puis redemandait ce qui était le plus important
pour moi dans mes réponses, là il surlignait,
puis après il a fait les dessins.
Et la dernière fois que je les ai vu,
ma puce a fabriqué un puzzle pour son frère !
Ma puce en train de fabriquer le puzzle Mon poussin en train d'assembler les pièces
Mamie avait apporté un bon dessert !
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Comme toujours à l'aller et au retour de Vendée,
nous passons chez mon amie d'enfance
(on se connait depuis 60 ans).
Apéro joyeux
Durant le repas je la vois tout à coup agitée,
et pour cause les vaches de sa nièce
s'étaient échappées de leur champ,
avaient traversé le potager et se régalaient
dans sa prairie !
Elle a appelé sa nièce qui était malheureusement absente,
et lui a demandé de les rentrer.
Ce qu'elle a refusé car ce n'est pas si facile,
et qu'il faut être plusieurs et en bonne santé.
Elle a donc essayé de les enfermer, pour qu'elles attendent
sagement le retour de leur propriétaire.
Moi, pendant ce temps là, je prenais des photos.
Regardez cet oiseau qui semble très intéressé par cette visite !
Et le poteau de rugby bricolé par les petits neveux de mon amie !
C'était d'ailleurs à un entraînement de rugby
qu'était toute la famille au moment
de l'intrusion des vaches.
Pendant mes vacances, j'ai appris que comme nos amis de Canalblog,
nous allions, nous qui sommes sur Eklablog,
changer aussi de "plateforme".
C'est prévu pour fin juin, début juillet.
Pour le moment, pas de date précise,
j'ignore même si on nous la donnera.
En attendant, je m'organise,
et ai ouvert un autre Blog
J'y ai mis déjà quelques articles récupérés sur ce blog,
mes liens, et j'ai adapté le design pour qu'il ressemble
à mon blog Eklablog.
Si vous voulez vous y abonner,
dites le moi via le formulaire de contact,
ou en commentaire sur un des 2 Blogs,
car cela ne peut pas se faire directement.
Fleurs de notre jardin
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Mon dernier article était pour la fête des mamans,
aujourd'hui je souhaite bonne fête à tous les papas.
Entre temps nous sommes partis en vacances !
Chance suprême, nous avons eu beau temps !
Pas trop chaud, pas de pluie, du soleil tous les jours.
Nous avons fait le plein d'air iodé, et de vue sur l'océan.
Nous avons bien mangé,
poissons, légumes de chez un maraîcher,
comme toujours une super glace,
et le dernier jour un super café gourmand
que nous nous sommes partagé !
Ce matin, ma balance m'annonçait que j'avais malgré tout ça
perdu 300 g !
A la maison nous avons retrouvé un jardin superbe !
La pluie drômoise l'a bien arrosé !
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Ce que nous souhaitons, nous les mamans,
c'est avant tout que nos enfants aillent bien !
Alors je pense aux mamans dont les enfants
ont des soucis de santé, ou des soucis de couple,
et aussi à celles qui ont perdu un enfant !
Dans ces cas là, notre cœur saigne,
et aucun bouquet de fleurs ne peut l'apaiser !
Et puis il y a des mères, comme la mienne,
à qui on fait livrer des fleurs,
et qui comme à l'accoutumée critique l'heure de livraison,
car elle n'avait pas "ses oreilles" !
Comme si le jour de la fête des mères,
elle ne pouvait pas les mettre dès son réveil !
Bref, il y a longtemps que j'ai baissé les bras !
J'espère que vos "petits" vous ont fait un petit mot.
Pour le moment j'en suis à un sur deux
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