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    Photo 1 

     

     

    Après 2 essais , d'achat, infructueux,

    depuis le début du confinement,

    c'était le seul conditionnement disponible, ce lundi.

    Zhom a eu honte à la caisse, et a expliqué qu'il ne restait que ça !

    Avec 48 rouleaux nous devrions tenir durant les 5 semaines restantes,

    puisqu'on suppose que ce confinement durera 6 semaines...

     

    Photo 2 

     

    Confinement de mes bouts de chou, qui dorment bercés par le tracteur de leur papa.

     

    Photo 3

     

     

    Trois gendarmes effectuant des contrôles au rond point

    à côté de chez nous, en fait il y en avait 4.

    Je pense que deux, auraient largement suffi.

    Juste au moment où ils arrivaient, je sortais pour accrocher les volets,

    que le vent faisait claquer.

    Il aurait plus manqué que je tombe sur des bornés qui me demandent une attestation.

     

    Oui parce que cela existe, les bornés qui verbalisent malgré une attestation légitime :

    Au Pouliguen : sortie pour abreuver ses chevaux ICI

    Au Veyrier-du-Lac : sorti pour poster du courrier urgent ICI

     

    Il est vrai que certains abusent des sorties,

    mais il ne faut pas tomber dans l'excès en verbalisant à tour de bras...

     

     


    7 commentaires
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    Adieu Eros, fidèle compagnon de ma puce et de toute la famille ! 

     

     

     

    J'imagine la tristesse de ma puce qui adore ses chiens !

     

     

    Confinée avec certes de l'espace,

    mais une grande tristesse qu'elle ne pourra partager qu'avec ses parents,

    j'aimerais tellement pouvoir la réconforter !

    Même si, moi aussi je pleure !

     

     

     


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  • Devoir du GOUT N°31 

     

    SUJET

    Elle est comme nous.
    Elle est à sa fenêtre.
    Que souhaite-t-elle ?
    Que pense-t-elle ?
    Comme nous est-elle confinée, prisonnière, recluse ? 
    Dites lundi ce que vous pensez à partir de cette toile de Salvador Dali.

     

     

    Ouf, j'ai juste eu le temps de me sécher vite fait

    et de me rhabiller, d'ailleurs je suis encore humide,

    et ma robe me colle à la peau. 

    Je suis sortie tôt, comme cela, personne à l'horizon,

    pas de risque de me faire surprendre.

     

    Maintenant, j'attends une collègue de travail,

    nous bossons à l'hôpital.

    Les journées sont très longues, stressantes,

    un afflux de malades, pas assez de moyens,

    il  manque cruellement de masques de protection !

     

    Ce bain, même interdit,

    m'aura permis d’emmagasiner un peu d'énergie

    pour tenir face à tous ces patients en détresse respiratoire !

     

    Cette entorse aux directives actuelles,

    n'est pas une bonne attitude, je le sais,

    mais j'ai craqué !

     

    Ce sera la seule et unique fois, je vous le promets.

     

      

     

     

     


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    Tous les droits et recettes seront versés intégralement

    aux soignants !

     

     


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