J'ai toujours aimé l'eau.

Ma grand mère nous emmenait à la piscine à Rouen,

alors que nous ne savions pas encore nager.

Par contre, comme elle nous faisait mettre

la tête dans l'eau, dans le lavabo,

nous n'avions absolument pas peur même si nous n'avions pas pied.

Par la suite, nous avons eu un cours de natation,

( le prof est parti avec l'argent, mais n'a pas continué les cours !)

et cela m'a suffi pour savoir nager,

sans doute grâce à mes orteils palmés !

Photo trouvée sur la toile,

mais mes orteils sont les mêmes,

ceux de mon second fils, aussi !  

Aussi, lorsque nous sommes arrivés en Vendée,

dès que le temps le permettait,

je me baignais, soit à peu près de Pâques à mi-septembre.

Une fois alors que nous étions entre amies,

nous voilà parties à deux avec un matelas gonflable.

Cela s'est bien passé, jusqu'à ce que cette amie

se rende compte qu'elle n'avait pas pieds.

Là, elle a paniqué car elle ne savait pas nager !

Elle faisait deux fois mon poids,

et j'ai dû nager en tirant le matelas et elle dessus,

jusqu'à la plage !

Je n'en menais pas large, et me suis écroulée 

sur le sable une fois la tâche terminée !

Il faut dire que cela se passait hors période estivale,

et que la plage n'était pas surveillée !

Il y a peu de temps,

j'ai vu à la télévision qu'il existait 

une épreuve de nage de 25 km en eau libre.

Bon les pauvres, à Rome,

ont nagé durant 3h pour rien !

Vingt cinq kilomètres, me suis-je dit,

c'est énorme !

Je me souviens, lors de vacances en Corse,

avoir participé à une épreuve,

( qui consistait à nager 1 km en mer )

au bout de laquelle j'avais été bien fatiguée.

Il faut dire qu'à l'arrivée,

le fils du futur parrain de mon aîné

( je n'avais pas d'enfant à l'époque, c'était en 1985 )

m'a vue au loin,

a échappé à la "vigilance" de son père,

(en fait son père ne s'était pas du tout rendu compte de son absence)

et est venu à ma rencontre. 

Le problème c'est qu'il a fini par se retrouver en détresse,

car il y avait trop d'eau pour lui,

et qu'après avoir nagé mon kilomètre,

il a fallu que je nage en le ramenant sur la côte !

Du coup j'étais exténuée !

 Corse 1985

Je ne risquerais  pas d'en faire autant maintenant !

Cet été nous sommes allés dans le Cantal,

chez mes cousins, c'est à chaque fois super,

car nous nous entendons vraiment très bien.

Sur la route, nous voyons au loin le Puy en Velay. 

Puis nous passons sous la forteresse de Polignac

Je trouve que le Cantal est une région reposante,

lorsque l'on arrive sur les plateaux,

on voit de la verdure et des vaches à perte de vue 

Et puis en arrivant dans un petit village 

notre racine commune, à ma cousine et à moi,

écrite en grand !

Ce qui m'amène à ce qui nous a occupées durant toute une journée :

la généalogie

Nous voici en train de déchiffrer des actes.

Nous avons bien avancé de son côté,

et à mon retour j'ai bien avancé du côté de son mari.

On fait toujours des découvertes !

Le lendemain, nous sommes allés à Salers,

superbe village,

j'ai regretté de ne pas avoir pris mon appareil photo,

le temps était tellement couvert, que j'ai pensé qu'il serait inutile.

Celle ci est donc prise avec mon téléphone.

Vue prise de Salers

Au retour, nous avons fait du tourisme,

cela nous a fait quatre jours de supers vacances.

Comme à l'aller, nous avons fait du tourisme

au retour du mariage.

D'abord nous avons pris quelques photos

à Collobrières

Bon celle-ci, j'ai oublié de la prendre, alors je l'ai trouvée sur la toile.

Celle-ci est bien de moi.

Ce qui nous a étonnés à Collobrières,

c'est de voir des magasins de châtaignes, partout.

On se serait crus en Ardèche !

En voilà l'explication 

Entre le confinement, nos soucis de santé,

et l'incertitude d'aller à ce mariage,

nous n'avions pas assez préparé ce court séjour dans le Sud...

Ce sera pour une autre fois, peut être.

 Pour le retour nous sommes passés par Brignoles

Carrière de Candelon

Puis après nous être un peu perdus dans les sorties

de voie rapide,

et avoir longé l'étang de Berre,

Nous avons pu continuer sur des routes plus touristiques.

 Carpentras

Le Mont Ventoux perdu dans les nuages 

Le château du Barroux

Mollans sur Ouvèze

A quelques kilomètres de chez mon fils aîné,

qui devait d'ailleurs faire la même chose dans ses champs.

La Tour de Crest, plus haut donjon médiéval

de France.

Crest où habite mon second fils,

et où j'ai travaillé durant plus de 20 ans.

Et là se termine ce petit voyage aller/retour

pour ces quatre jours de déconfinement total.