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Dans mon précédent article je vous disais
que mon second fils, celui qui est chez
devait avoir un entretien pour devenir
adjoint du responsable de magasin.
Cela faisait quelques mois déjà qu'il sollicitait
cet entretien, on lui répondait qu'il n'était pas prêt
à manager une équipe.
Cela ne faisant pas partie de ses tâches,
il se demandait comment on pouvait l'évaluer sur ce critère.
En plus au bout de trois mois dans l'entreprise
(il a commencé en novembre 2017)
le responsable du magasin lui disait
qu'il pourrait rapidement évoluer, et rien ne venait...
Il a eu une semaine de vacances en février,
à son retour le lundi on lui a annoncé que
son entretien était programmé le jeudi.
La responsable de région et le DRH ont mené
cette discussion.
Il nous a dit que cela s'était bien passé.
Mais il est toujours difficile de percevoir
ce que vos interlocuteurs pensent vraiment.
La réponse devait lui être donnée dans les 15 jours suivants.
Vendredi, il était en repos,
et samedi son responsable lui a dit
qu'il était passé à deux doigts de ne pas être retenu,
car il était trop calme/réservé, de ce fait le DRH
n'était pas chaud pour le faire évoluer.
C'est la responsable de région qui,
connaissant son sérieux au travail,
a fait pencher la balance !
Depuis lundi, il est en formation pour 6 semaines,
dans le magasin dans lequel il travaille (pratique)
et après il commencera ses nouvelles fonctions
dans un magasin ardéchois, car il est impossible
d'évoluer dans le magasin d'origine...
Voilà ce qu'il m'a dit :
"Je suis content après je travaille dur pour ça depuis le débutet c’est pas une fin pour moi je vise toujours plus hautEt je sais que je vais avoir beaucoup à apprendre pour ce posteMais j’ai confiance ça va être une bonne expérience ."J'ai longtemps été inquiète à son sujet,car tant que son projet d'aller soit au Canada,soit en Nouvelle Zélande ,n'avait pas abouti, il ne s'était pas trop investidans la recherche d'un emploi...Il faut savoir être patient !
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La semaine dernière mon second fils était en vacances,
lui et sa compagne en ont profité pour faire
une activité que nous lui avions offerte
pour son anniversaire en février 2018.
Promenade avec chiens de traîneaux dans le Vercors.
Aujourd'hui, il a un entretien en vue d'évoluer
en tant qu'adjoint du directeur
pour qu'il réussisse.
Cette semaine mon aîné est en vacances
avec sa petite famille,
ils sont en Haute Loire.
Tous les soirs ils nous partagent les photos d'une famille heureuse.
pour que cela dure !
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Aujourd'hui, 14 février mon second fils a 29 ans.
Comme hier était jour de garde de mes petits bouts de choux,
nous avons fêté l'anniversaire de mes deux fils.
L'aîné a eu 32 ans le 1er février.
29 ans, c'est l'âge que j'avais lors de la naissance du premier,
32 ans, l'âge que j'avais lors de la naissance du second.
(enfin presque, puisque je suis de juillet).
Comme le temps passe !
Nous avons eu une superbe journée ensoleillée,
le matin les petits ont joué dehors.
Comme ma petite puce ne voulait pas fermer son anorak,
sa tante lui a dit qu'elle allait être malade,
ce à quoi la petite malicieuse a répondu :
"jaime bien être malade, comme ça je ne vais pas à l'école" !
Je leur avais apporté une sucette licorne
(après la reine des neiges,
les licornes sont la passion de ma puce).
La veille j'avais fait un plat de lasagnes,
qui pouvait voyager en voiture, sans se renverser !
Elles ont été appréciées !
Puis les petits ont soufflé les bougies.
Des fils et petits enfants heureux ( leurs compagnes, et moi, aussi !)
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A toute serrure, une clé...
Aquarelle de Jacqueline Gnott
Dix mots à caser, histoire de trouver des serrures à ces clés...
Tardivement
Symphonie
Eclat
Bordure
Ergot
Influence
Grenat
Correct
Fracasser
Parloir
Ouverture, lundi !
Ce soir-là, elle avait eu la permission de rentrer à minuit.
Malheureusement, elle était revenue un peu plus tardivement.
Elle s’était donc retrouvée devant la porte du domicile familial,
fermée à clé.
Elle n'osa pas sonner, de peur d’entendre les éclats de voix
de son père, (en effet celui-ci montait souvent sur ses ergots).
Elle se souvenait trop bien de sa sœur aînée,
qui, n’arrivant pas à ouvrir la porte,
un samedi en rentrant de l’internat,
avait sonné.
Leur père avait ouvert, lui avait donné une claque
et avait refermé la porte à clé !
En fait la porte était juste dure à ouvrir,
il n’avait pas apprécié de devoir se déplacer…
Elle chercha une solution de repli.
Comme il était tard, il ne lui parut pas correct
d’aller sonner chez sa grand-mère.
Elle songea à prendre la clé des champs,
mais compte tenu de l’habituel abus d’influence de son père,
elle craignait de se faire fracasser si on la retrouvait.
Dommage, qu’à cette époque on n’écoutait pas les enfants,
elle aurait pu porter plainte,
il serait inévitablement allé en prison.
Il est certain,
qu’elle ne serait pas allée le voir au parloir !
Elle aurait pu aller en bordure de mer, mais elle eut peur
de faire de mauvaises rencontres.
Et puis la symphonie des cris des mouettes
(qui ne connaissent pas la clé de sol)
l’aurait empêchée de dormir…
Elle finit par résoudre la clé du problème
en se réfugiant dans la voiture grenat
de sa mère.
Heureusement, qu’elle ne la fermait jamais à clé !
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