• Panne d'inspiration

    Devoir du Goût N°194

     

     

    SUJET

     

    Cette « photo modifiée tableau » de Richard Tuschman m’a,

    « interpellé quelque part au niveau du vécu »

    comme on dit quand on joue au « psy mode années 80 »

      
    De fait, quel sens donner à cette toile ?
    Qui part ? Elle  ? Lui ? Eux ?
    Revient-elle ? Part-elle ?
    Qui est la silhouette derrière la fenêtre ?
    Celle qui fait partir ou celle qui fait revenir ?
    Et qui doit partir ou revenir ?
    Bref c’est, comme disait ma mère « un vrai sac de nœuds »…
    Je compte sur les efforts de tous pour donner un sens à cette toile.
    À lundi…

     

     

     

     

    En fait cette femme avec sa valise me fait penser

    à une réfugiée qui fuirait la guerre,

    et arriverait chez des amis qui accepteraient de l'héberger. 

    Quelle guerre, je ne sais pas il n'en manque pas actuellement !

     

    Que pensent son ami et son épouse qui regarde par la fenêtre ?

    Sans doute espèrent ils que les bombes n'arriveront pas jusqu'à chez eux !

     

    Quant à elle, si elle est soulagée d'être hébergée loin du chaos,

     l'accablement d'avoir vu tant de souffrance l'empêche de se réjouir. 

      

     

    J'aurais souhaité raconter quelque chose de décalé,

    de drôle, mais ça ne vient pas !

     

    « On n'a jamais été équilibrésMusique »

  • Commentaires

    1
    Lundi 7 Octobre à 07:55

    Il est vrai que ce tableau ne dégage pas une envie folle de rigoler yes J'ai eu du mal moi aussi, heureusement j'ai trouvé une anecdote familiale qui nous fait toujours rire.

    Gros bisous ma Fabidouce ♥

      • Lundi 7 Octobre à 07:57

        Ah j'oubliais : mieux vaut "panne d'inspiration" que "panne d'aspirateur" !

    2
    Lundi 7 Octobre à 08:08
    Adrienne

    Oui le tableau ne dégage que de la tristesse, par ses couleurs et par la pose statique des personnages :-) 

    tu en as donné une explication tout à fait plausible!

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    3
    Julie
    Lundi 7 Octobre à 11:03

    Oui, comme tu dis, on ne manque pas d'occasions de fuir la guerre en ce moment...Pourvu que nous ne soyons pas nous aussi un jour obligés de faire aussi notre valise...J'ai fait un peu comme toi, cette valise, synonyme de départ ou d'arrivée, mais, j'ai choisi la misère....Au fait, je n'ai pu accéder au blog de Mr le Goût, ça me dit "en maintenance"....

    4
    delia
    Lundi 7 Octobre à 11:11

    Je pensais en effet à une réfugiée avec sa valise en carton, mais comme toi, pas trés inspirée non plus,je n'ai rien tiré du tableau, contrairement à ce que tu as fait. Bonne journée, comme dirait Ambre, malgré tous les malgré. Je t'embrasse.

    5
    Lundi 7 Octobre à 15:08

    Je pense que ce qu'on y voit c'est notre caractère
    Où ça ne marchera jamais, ou c'est fini, ou c'est "arrangeable", ou c'est une chamaillerie passagère
    Bref, ça va du pire au meilleur selon son tempérament...

    6
    emiliacelina
    Lundi 7 Octobre à 18:34

    zut! ton devoir plombe un peu le moral.... mais faut avouer qu'rn ce moment....

    7
    Mardi 8 Octobre à 10:44

    L'œuvre proposée n'incite pas à la gaudriole.
    Mais au final ton choix d'accueil d'une réfugiée, ça va plutôt vers l'espérance d'un mieux…

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