c'est ça, on reparlera de printemps quand il fera 15° :-)

(et oui quel beau printemps pendant ce premier confinement! et les terrasses étaient interdites!)

Il est vrai qu'en 2020 le printemps était précoce, doux et agréable.
Puis on entendait les piafs, les canards et les aoies déambulaient sur la place de l'Opéra.
Pas une bagnole, un bus tous les jamais.
Le rêve.
On se serait cru un dimanche au début des années 60, quand il n'y avait pas beaucoup de voitures et même pas un feu au croisement de deux boulevards...

 

dans ces moments là je pense à ceux qui ont froid, qui ont vraiment froid,

d'autant plus facilement qu'une de mes proches vient tout juste de sortir d'une précarité qui a duré 8 ans ... 

tu as bien raison de rester au chaud !

(c'est vrai qu'on dirait la "soeur du fils de ma fille" lol)

Bisous Fabinette

C'est incroyable, j'arrive à zapper cette période de confinement, enfin si, je me souviens juste de l'autorisation de ne pas dépasser 1 km autour de chez soi.

Tes animaux sont magnifiques, ils s'entendent comme chien et chat

Gros bisous ma Fabidouce.

J'ai aimé le premier confinement, les rues étaient vides, les moineaux étaient de retour, il faisait beau et la pollution parisienne faisait une pause.

J'adore la photo du pavot, elle est magnifique, on dirait un tableau. Comme tu dis il faut une sacré dose d'optimisme ! Bisous, bien froid encore ce matin.

Coucou chère Fabie, cette période de confinement obligé ... m'évoque également un ciel bleu infini sans un nuage, pas d'avions, pas un bruit alentour, la pollution diminua, les photos de la nature environnante étaient magnifiques . . . aujourd'hui, la météo annonçait un semblant de ciel bleu, de soleil, il faudra encor attendre ! Merci pour ton texte et la jolie photo du froid de canard avec Donald... Bises...

C'est vrai qu'on a été confiné...J'essaie de l'oublier, car je n'ai pas aimé, mais pas du tout...J'avais l'impression qu'on était dans un pays totalitaire, comme en Chine ou un poisson tournant dans un bocal (bon, quand même grand notre bocal, faut relativiser)...Ce que je me rappelle, c'est qu'on respectait scrupuleusement les 1km et le temps imparti, quand d'autres trafiquaient leur bulletin de sortie sans état d'âme. Incroyable que ça ait existé...Je me rappelle que nous avions la chance d'habiter au bord de l'eau, qu'on se promenait le long du golf, que tout le monde portait un masque, qu'on était heureux de sortir, quand maintenant que j'ai le droit de faire ce que je veux, je ne sors pas...Au bout de 6 mois, on s'est aperçu que nos 1km, c'était à vol d'oiseau, donc qu'on avait droit d'aller dans le centre de Vichy...Nous avons eu l'impression d'être des prisonniers qui avaient vu leur champ s'élargir...Mais, une heure, c'était trop peu...Alors, nous-aussi, on a joué avec le feu...Quel bonheur de pouvoir aller admirer les fleurs dans les parcs de l'autre côté du pont !

Là, y'en a marre de cette grisaille tenace. On a dû avoir 2 jours de soleil en un mois...Pas envie de sortir, même pas de partir à la recherche d'un nouveau logement. J'ai l'impression d'hiberner...C'est mon mari qui sort plusieurs fois par jour. Là, je lui ai dit que, puisqu'il allait chercher le pain, de regarder s'il y avait la queue devant le bus du glaucome qui est pour 3 jours sur Vichy, où on peut aller faire tester sa vue sans rendez-vous...La dernière fois que j'ai voulu me faire tester la vue, on m'avait donné  8 mois de délai, alors je m'étais barrée sans prendre de rendez-vous...Encore une raison de crier sa colère, ces délais insoutenables pour avoir un rendez-vous médical...

Bises

Le confinement , j'étais en télétravail et comme je ne suis pas un gros fortiche de l'informatique je me suis formé , j'ai pris des migraines devant mon clavier , j'ai organisé des téléconférences , c'était très compliqué , au lieu de se parler il fallait envoyer des mails , (combien chaque jour?)  et ne pas se mélanger les pinceaux ..... pas glop comme disait jadis Pifou  dans le journal de Pif

Tes photos sont plus gaies que le temps. de la pluie les 3 quarts de janvier, du vent et très, très froid. vivement un printemps ensoleillé. Gros bisous