Devoir du Goût N°69

SUJET

Je ne sais pas si vous aimez les toiles de Maurice Utrillo.
Quant à moi, je les aime.
Elles m’inspirent toujours quelque chose.
Et vous ?
Aurez vous quelque histoire à raconter lundi, ayant cette toile pour support à votre imagination ?
Alors à lundi…

Le Goût tu es hanté par le confinement. 

Honnêtement, je préfère ces deux tableaux,

plus vivants, de la même rue,

réalisés eux aussi par Utrillo, vingt ans plus tard.

J'ai aussi trouvé quelques vieilles cartes postales.

Et voici une photo prise durant le confinement

au printemps 2020

Devoir du Goût N° 68

SUJET

Cette toile de Pissaro vous inspire-t-elle ?
Je l’espère…
Le mieux serait que vous commençassiez ce devoir par :

« Il semble que ce qui vous pousse brusquement à la fugue, ce soit un jour de froid et de grisaille qui vous rend encore plus vive la solitude et vous fait sentir encore plus fort qu’un étau se resserre. »

Et que vous le terminassiez par :

« Je vais laisser cette lettre en suspens… »

Ce serait vraiment bien, je vous assure.

La sœur ainée ( 69 ans) de ma meilleure amie est hospitalisée actuellement.

On a fait venir ses enfants à Poitiers (l'un de St Malo, l'autre de Toulon) ,

qui sont aussi des amis des miens.

Devoir du Goût N°66

SUJET

Mais qu’est-ce qui a bien pu surprendre cet homme,

l’affoler au point qu’on le pense fou ?

Vous avez certainement une idée.

On en saura sans doute plus lundi…

Vous ne trouvez pas qu'il y a une petite ressemblance ?

Bon, elle n'est que capillaire, et cette photo date

de septembre 2015.

Aujourd'hui exit les cheveux longs,

et même les lunettes, puisqu'il a été opéré de sa myopie.

Mais surtout aujourd'hui 1er février 2021,

il fête ses 34 ans !

J'espère que cet évènement ne lui donne pas 

l'air aussi angoissé que celui de Courbet sur son tableau.

En tout cas, moi, je me souviens très bien

de ce dimanche matin où je l'ai mis au monde.

J'ai de la chance, je n'ai pas galéré pour mes accouchements,

(sans péridurale)

à tel point que je disais 3h après sa naissance,

que j'étais prête à recommencer.

Trente quatre ans, une belle petite famille,

une exploitation agricole avec des hauts et des bas,

et pas mal de responsabilités dans des instances agricoles,

ainsi que dans sa commune.

De quoi rendre sa maman fière !

Devoir du Goût N°65

SUJET

En voyant « Le pêcheur à la ligne » de Renoir, m’est venue une question. 
Mais que peuvent-ils bien penser, l’un et l’autre.
Ou l’un ou l’autre.
L’une ?
L’autre ?
Tentez donc de pénétrer leurs pensées d’ici lundi.
Je vais m’y efforcer aussi.
À lundi…

C'était un dimanche,

un dimanche au bord de l'eau.

Fernand  avait fini par convaincre

Lydie de l'accompagner à la pêche.

Lydie avait beaucoup hésité,

en effet,  risquer d'abîmer sa belle robe,

en s'asseyant dans l'herbe fraîche ne l'attirait guère.

Néanmoins, elle avait fini par céder,

pensant que son insistance était une preuve d'amour,

et qu'il allait enfin la demander en mariage.  

Fernand quant à lui aimait vraiment la pêche,

mais ce jour là, il était tourmenté.

Il lui fallait avouer à Lydie

que Rose attendait un enfant,

et qu'il en était le père !