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SUJET
Vous avez déjà une idée de ce qui surgit de cette toile d’Aldo Balding.
Racontez l’histoire que vous avez à coup sûr imaginée et prévenezen le disant en commentaire du devoir que je vous présenterai lundi.
Version moderne
Je n'étais pas très inspirée,
puis j'ai trouvé ce dessin
et je me suis dit
que c'était une bonne façon de détourner le sujet
et de, j'espère, vous faire sourire.
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Mercredi dernier, c'était jour de garde
de mes petits bouts de choux.
J'ai fait faire les devoirs à ma puce.
La lecture comportait le mot :
"allée"
Ma puce m'a demandé ce que c'était,
je lui ai expliqué, mais il faut croire
que je m'y suis mal prise
car elle m'a dit :
"ah, oui, c'est comme la chanson :"
(Je voulais mettre une vidéo où elle chante,
mais çà beugue !!!)
J'ai éclaté de rire !
Sa maman à qui j'ai raconté l’anecdote,
m'a dit que dans la semaine,
alors qu'elle disait :
" je suis dans l'attente..."
la petite lui a répondu :
"ah bon, tu as acheté une tente ? "
C'est compliqué quand même tout cela !
Dimanche on a fêté ses 6 ans, c'était
SUPER !
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SUJET
Ce serait bien que ces mots, par lesquels vous commencerez votre devoir, vous inspirent :
« Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles… »
Et vous le terminerez par cette phrase de Patrick, non, pas « Patriiiick ! », l’autre, Modiano :
« Encore aujourd’hui, il m’arrive d’entendre, le soir, une voix qui m’appelle par mon prénom, dans la rue. »
Entre les deux, vous contez sans compter…
À lundi.
Et n’oubliez pas, quand vous passerez lundi pour lire mon devoir, d’annoncer aux foules avides de vous lire, que vous avez-vous aussi, raconté une chouette histoire.Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles,
repose Ophélie, symbole de toutes ces femmes
qui n'ont pas guéri du cancer du sein.
Pourtant, du courage, elles en avaient,
le moral elles l'avaient !
Elles ont tout bien fait comme on leur a dit :
du sport, mangé sain, suivi à la lettre leur traitement...
Mais non, leur cancer à elles, ne s'est pas bien soigné !
En ce mois d'octobre rose,
il faut le savoir,
le cancer du sein n'est pas rose !
Douze mille décès par an !
Elles s'appelaient Paméla (45ans), Hélène (46 ans)
Loïs (31 ans)...
Encore aujourd’hui, il m’arrive d’entendre, le soir,
une voix qui les appelle par leur prénom, dans la rue.
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m'a fait me remémorer une péripétie,
que nous avons vécue, mes sœurs, mon frère et moi.
Nous sommes arrivés à St Gilles Croix de Vie (Vendée) en février 1970.
Nous quittions une grande maison avec un grand jardin,
pour une maison un peu plus petite, sans jardin pour jouer,
ma mère ayant fait planter des arbres partout.
C'est sans doute la raison pour laquelle elle
a du trouver que les dunes seraient un grand jardin pour nous.
Elle nous y a conduits un début d'après-midi,
et nous a laissés tout les quatre, tous seuls,
il n'y avait personne d'autre que nous.
Nous avions respectivement :
11 ans et demi, 10 ans et demi, 7 ans et demi, et 5 ans et demi.
Je pense que c'était en avril, ou mai.
Nous nous sommes "amusés" dans les blockhaus,
Lieu :
Saint Gilles Croix de vie, VENDEE, PAYS DE LA LOIRE, FRANCEjusqu'au moment où deux gars sont arrivés,
et ont commencé à me draguer
( j'étais grande...).
Affolée, j'ai sauté du blockhaus,
en leur disant :
"vous n'avez pas honte de vous attaquer
à une gamine de 12 ans,
je vais faire ma communion cette année"
Cela les a stoppé net !
Mais j'ai été très perturbée .
J'ai rassemblé la fratrie,
et nous nous sommes réfugiés dans un bosquet,
où nous nous sommes raconté des histoires,
jusqu'au retour de ma mère.
La fois suivante, nous sommes allés directement
dans le même bosquet, où nous étions cachés des regards.
J'ignore comment mon frère et mes sœurs
ont vécu cette "aventure".
Bon maintenant des immeubles ont remplacé les dunes,
et les blockhaus ont été enlevés.
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