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Le Zapping - 19/02/15

« Alors la Marseillaise des mariés, j’ai trouvé l’idée excellente.

Après j’ai pas trop compris pourquoi choisir la marseillaise, car ce n’est pas leur région.

Après, c’était peut être un petit clin d’œil pour moi (...) ou un marseillais dans la salle.

Je croyais que c’était que les marseillais qui chantaient la marseillaise (sic) »

expliquait la mariée juge face caméra. 

Autant d'inculture, cela fait peur non ?

En même temps j'étais écroulée de rire ce midi lorsque j'ai entendu cela à Canal + ,

d'ailleurs les animateurs de l'émission en sont restés ébahis !

Bon, pour participer à l'émission de TF1,

il faut déjà certainement ne pas avoir un  QI très élevé,

mais à ce point là... on croit être sur une autre planète.

Un  peu d'humour, en ce début de semaine.

Zhom a un ami très "pince sans rire".

Ils se connaissent depuis environ 45 ans.

Un jour il a reçu une enveloppe adressée à :

 Lorsque vous saurez que le père de Zhom était non seulement Gendarme,

mais en plus le Chef de la Gendarmerie, vous mesurerez la portée de la blague !

C'était dans les années 1970, je pense que les gendarmes avaient plus d'humour que maintenant....

 Le 14 février 1990, j'étais enceinte.

L'accouchement était prévu pour le 21 février.

Le matin, j'ai couru pour rattraper le facteur, et lui donner une lettre à poster

(en ce temps là, cela se faisait...).

Au retour, j'ai commencé à sentir les contractions.

J'ai dit à ma belle mère, c'est pour aujourd'hui,

elle m'a répondu qu'il me fallait attendre le retour du papa...

Ben, je vais essayer, lui ai je dis.

Le papa est rentré à midi, nous avons mangé, il a accompagné l’aîné chez la nourrice,

puis est rentré en me demandant si il pouvait bricoler, avant de partir pour la maternité.

A 15h nous avons pensé que c'était le moment !

Nous sommes passés vite fait par le bureau des entrées, où travaillaient mes collègues de travail,

et pliée en deux j'ai monté les escaliers pour aller à la salle d'accouchement.

Installée rapidement, je me souviens que la sage femme (nouvelle dans l'Etablissement)

ne trouvait pas son matériel (heureusement que c'était mon deuxième bébé).

Elle m'examine, me dit que c'est pour bientôt, et nous attendons patiemment que j'ai envie de pousser.

Elle me dit quand vous aurez envie de pousser, vous me le dites.

Oui, bien sûr lui dis je.

Et là, je crois que je vais faire des jalouses.

Tout à coup je lui dis, ça y est.

Je pousse, une fois, et mon bébé sort telle une fusée...

Le problème, c'est que la sage femme a dû le rattraper,

car elle n'avait pas installé la table d'accouchement en plein.

Aux environs de 17h mon fils était né.

Il a donc 25 ans, aujourd'hui.

Il y a deux jours, il a eu un accident,

plus de voiture, mais heureusement lui n'a rien eu.

Hier, j'ai vu mes deux fils et ma puce.

Un mois et demi que je ne les avais pas vus, c'est long !

Mon fils aîné se démène contre l'administration...

- D'abord, il est en pleine procédure de licenciement de son employée qui n'est plus apte au travail, suite à un accident.

Une procédure cadrée dans le temps, un mois pour envoyer les courriers et finaliser cette rupture incontournable du contrat de travail (l'arrêt de travail dure depuis environ 1 an).

- Ensuite, cette employée ne payant pas certaines de ses factures, le trésor public passe par l'employeur pour se faire payer (il a reçu les factures, samedi)....

Comme il ne la paye plus depuis environ un an, c'est fichu pour l'Etat...

Mais si elle avait été encore employée, mon fils avait 30 jours pour régler, et ne devait pas déduire la somme tout d'un coup sur le bulletin de salaire... en fin de compte c'est lui qui serait devenu la banque de l'Etat ! 

- Enfin il a eu une visite des services vétérinaires, dans son élevage, et devant "l'absurdité" des demandes de"mises aux normes", il s'est un peu emporté.

Bilan, il a reçu samedi un courrier lui demandant d'effectuer les modifications sous 8 jours, faute de quoi on lui retirerait son agrément, et il ne pourrait plus vendre ses œufs !

Il vient d'avoir 28 ans (le 1er février), c'est vraiment compliqué de mener une exploitation agricole.

Petit, il rêvait d'être sur les tracteurs, mais la pression permanente l'éloigne de ses rêves !

Mon second fils (qui aura 25 ans le 14 février) travaille actuellement chez son frère.

Ses recherches d'emploi n'ayant rien donné pour le moment...

Il rêve de voyager à l'étranger, durant quelques mois, avec son amie.

Ils ne savent, ni quand, ni où, ils essaient d'économiser pour pouvoir partir.

Ma puce,

toujours aussi adorable !

Elle ne veut toujours pas parler, mais sait très bien se faire comprendre.

Lorsque j'ai pris mes affaires pour partir, elle est venue dans mes bras, et ne voulait plus descendre.

C'était à la fois très mignon, mais aussi très gênant, j'ai eu l'impression de l'abandonner.